16 mars 2011

Les Bêtes sauvages (goyims) contre attaquent. La saga de l'apocalypse en cours.


Devant la multiplication des erreurs commises par le gouvernement Israélite Mondial et la subite visibilité de ses agents, administrateurs, et de sa propagande, les bêtes sauvages (goyims) du monde sentirent enfin que la victoire était possible. Eux qui avaient été si longtemps écrasés par cette domination tout azimut du fait de leur inconscience commencèrent à comprendre que leurs coups portaient et que des batailles commençaient à être gagnées. La peur  changeait de camp.
La libération de la parole fut le premier témoin de cette régression de la peur et de l'apparition d'une volonté de terrasser ceux qui les entraînaient au chaos au nom de l'application de leurs mythes religieux, qui leur promettaient la domination sur les peuples du monde et l'accaparement de leurs richesses.
Pour une fois dans l'histoire de l'humanité il était devenu possible de comprendre par qui et comment était mis en place le Nouvel Ordre Mondial, et quels étaient les moyens de le vaincre. Ce qui se déroulait de façon continue et de manière silencieuse commença a être exposé, et analysé par le public, qui fut confronté de la façon la plus insidieuse à d'innombrables gardiens du temple, qui sous le couvert de les informer sur le NOM, les déroutaient en les dirigeant vers des paravents derrières lesquels se cachaient les administrateurs du monde, et contre lesquels la guerre des bêtes sauvages accélérait la victoire des administrateurs au lieu de les empêcher de nuire.
Une fois acquise la certitude que les mythes innombrables étaient les murs des prisons mentales que les administrateurs mettaient en place pour les confiner dans un enclos, les bêtes sauvages se mirent à détruire ces mythes un par un, et chaque action qui isolément peut ressembler à la piqûre d'un moustique, cumulée à l'échelle du monde  devint un essaim d'abeilles ravageur.
Des milliers de petites vérités enfin révélées et diffusées, levèrent les voiles de mensonges et les murs constitués de ces voiles superposés ne purent bientôt plus servir de rempart entre le monde réel et celui virtuel mis en place par la propagande. Malgré l'inertie importante que représente la masse de conscience du monde, la montée de cette conscience devint exponentielle et dépassait la barrière des nations, des cultures et des races.
Eux qui étaient accusés de négationnisme et de révisionnisme dès qu'ils enquêtaient sur leur histoire, se lancèrent dans la brèche ouverte par les courageux révisionnistes anonymes, ou publics et démontrèrent que le négationnisme de l'Holodomor, de la Nakba, du génocide Arménien, du génocide de l'aristocratie, et du clergé Orthodoxe Russe, ainsi que celui de l’esclavage, (et de tant d'autres qu'il est impossible d'énumérer ici, mais qui) mis bout à bout prouvaient sans l'ombre d'un doute que le négationnisme était largement utilisé dans le camp des administrateurs. Leur double langage devint de plus en plus évident et clair.
Ce négationnisme permanent et tout azimut, était l'oeuvre de ceux qui les accusaient de négationnisme et qui par leur pouvoir sur les sphères de la justice, de la propagande, et sur l’exécutif du monde Occidental leur permit d'imposer des lois contraignantes qui criminalisaient la recherche de la vérité et la recherche historique. Mais les peines de prison ne furent bientôt plus une menace suffisante, car l'importance des enjeux dépassaient ceux de l'emprisonnement de quelques éléments, vu qu'il s'agissait de la liberté et de la vie de tous. 
Les candidats au martyrs se multiplièrent, et ce qui avait été caché par l'effet du nombre infime d’êtres qui osaient délier leur langue quitte à aller en prison, devint une réalité au fur et à mesure que les prisons se remplissaient de ces révisionnistes. Lentement ce qu'il était possible de cacher en petit nombre et par le silence des médias et la complicité des associations qui luttent en apparence pour la liberté d'expression ne fut plus possible devant la multiplication des cas.
L'holocauste des juifs dont les révisionnistes affirmaient l'aspect mythique et l'usage en tant qu'arme de propagande et pour lequel ils ne demandaient qu'un débat sincère et complet, commença à s'effriter et un mur de plus était sur le point de tomber. Un mur qui maintenait l'humanité dans une croyance perverse qui faisait des bourreaux ultimes, la victime suprême. Le rempart ultime qui permettait une telle inversion commença a craqueler. Les premières vagues ne purent emporter les digues mises en place mondialement par le biais des organisation internationales, et des agences de propagandes associées aux lois et à une répression sans merci. Mais les vagues suivantes, qui n'allaient pas tarder à déferler ne pourraient plus être retenues. Et tel un tsunami commençait à submerger le monde. L'humanité compris que quel que soit le nombre de victimes, cette mise en avant et cette répétition digne de la pire propagande Stalinienne, résonnaient comme une appropriation du statut de victime, sur le cours d'une guerre qui avait connu un nombre 10 fois supérieur au nombre officiel des victimes juives. 6 millions, contre le nombre qui varie entre 55 et 70 millions. Cette négation de la douleur des peuples victimes eux aussi de ces plans macabres, finit par exacerber les peuples et leur premier geste fut de zapper sur leurs télécommandes dès que la Shoah était le sujet dans les médias. Geste non quantifiable, mais dont la portée allait avoir des répercussions importantes au fur et à mesure qu'il se généralisait et contre lequel aucune loi ne pouvait avoir de poids. Des professeurs qui utilisaient ce concept Shoatique de façon clairement subversive furent remis à leur place et mis à pied le temps qu'ils reviennent à la réalité. Ils commencèrent à égaler le nombre de professeurs qui avaient été virés de l'éducation nationale et ostracisés, pour leur refus du statut de scribe dans lequel les limitait la loi Gayssot. Le professeur Faurisson devint le symbole de l'homme le plus infréquentable de la société sous influence, et ce concept commença a émerger comme une preuve de probité face au politiquement correct dont tout le monde constatait le pouvoir Orwellien.
La conscience des peuples devant les non dits de l'Opération H1N1 s'éleva de plus belle et devint une force qui contrecarrait les rêves macabres et criminels de cette élite emportée par son orgueil amplifié par son élection mythique. Le fait que cette opération fut lancée peu de temps après l'attaque criminelle de l'armée juive de l'état du même nom, sur Ghaza, ne manqua pas d’être associé dans l'inconscient des masses.
Quand ils comprirent que les médias qui avaient été gérés comme un orchestre dans le but de créer la peur et d'obtenir le consentement d'apparence réfléchit de la part des populations, en vue de les empoisonner collectivement, cela éleva la colère et l'incompréhension, qui par le biais d'internet devinrent une certitude nouvelle. Celle que les médias et la majorité de la classe politique leurs voulaient du mal et plus encore qu'ils avaient participé à une Opération génocidaire à l'échelle globale. Ce qui démultiplia encore la légitime colère des peuples concernés. Les tentatives d'expliquer cette Opération par l'attrait de l'argent et donc le rôle du Lobby Pharmaceutique ne suffirent plus à les rassurer. Pas plus que les tentatives de blanchir et de diluer les responsabilités grâce à des enquêtes et des débats biaisés.
Un par un les mythes fondateurs de la démocratie s'écroulaient sans qu'il soit possible de les maintenir plus longtemps. Chaque nouvelle tentative rendait cette conscience nouvelle plus poussée, et seule la main mise sur le domaine médiatique et la répétition des mythes à une frange réceptive du fait de sa collaboration inconsciente mais active permettaient de limiter les dégâts momentanément et de maintenir un semblant d'illusion. La deuxième élection de Bush fils, fit le ménage dans la croyance en la démocratie représentative et son appendice le vote.
Les écrits d'Edouard Bernays, qui disait en substance que "La propagande est l’exécutif du gouvernement invisible" commencèrent à faire leur oeuvre dans les esprits, et lui qui les qualifiait de bêtes sauvages, en disant "Le public doit être mis à sa place afin que les hommes responsables puissent vivre sans craindre d’être piétinés ou encornés par le troupeau de bêtes sauvages." perdirent leur pouvoir, et ses directives ne purent plus agir avec la même efficacité que lorsqu'elles n'était pas connues et comprises par les masses.
Leur refus de voter aux élection et l’abstention qu'elle sous tendait, servit durant une longue période à la partie adverse qui elle allait voter et avec des proportions infimes comparée au nombre des votants sur les listes emportait des victoire dont seul la répétition Bernaysienne permettait d'entretenir le mythe de la légitimité et la pseudo majorité. Mais en s'amplifiant le phénomène se transforma en une conscience que chaque bête sauvage n'était plus seule à faire ce constat et qu'une horde était en train de se former. De nombreuix médias Internet durent fermer leurs articles aux commentaires, tant ils se faisaient attaquer. Individuellement des millions de moustiques étaient en train de piquer, et leur action jumelée atteignait de plus en plus les administrateurs obligés par ces actions de s'enfoncer dans un autisme profond révélateur de leur état mental.
Revigorés par leurs minuscules victoires les bêtes sauvages commencèrent à agir en groupe, et une de leurs plus importantes victoire fut obtenue aux USA, par le biais du rapport de la communauté des services secrets des Etats Unis d'Amérique qui refusèrent de laisser le gouvernement de l'ombre engager son paravent Américain dans la guerre contre l'Iran, comme il avait réussit à le faire pour l'Irak. Sous le capharnaüm de la propagande, la résistance comptait ses points et cooptait les nouveaux venus en les formant rapidement à cette liberté nouvelle et à cette histoire en cours de réécriture.
Toutes les opérations financières, politiques et militaires qui avaient été mises en oeuvre  depuis 2005 tombèrent à l'eau les unes après les autres, et cela donna une vigueur nouvelle aux bêtes sauvages.

à suivre...

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