29 sept. 2011

Les Samaritains.

La version Wikipedia.   ici     
Les Samaritains (autoethnonyme : Shamerim, qui signifie les observants ou ceux qui gardent3 ; en hébreu moderne : Shomronim - שומרונים, c'est-à-dire de Shomron, la Samarie ; ou « Israélites-Samaritains »4) sont un peuple peu nombreux se définissant comme descendant des anciens Israélites, et vivant en Israël et en Cisjordanie. On appelle parfois leur religion le samaritanisme.
Les Samaritains offrent le paradoxe d'être à la fois une des plus petites populations du monde, puisqu'ils sont 712 en 20071, et une des plus anciennes dotées d'une histoire écrite, puisque leur existence est attestée au Ier millénaire av. J.‑C. en Samarie. Ils ont dominé cette région jusqu'au VIe siècle, dans le nord de l'actuel Israël.
Leur religion est fondée sur le Pentateuque, comme le judaïsme. Cependant, contrairement à celui-ci, ils refusent la centralité religieuse de Jérusalem. Bien qu'ils soient apparus avant le développement du judaïsme rabbinique et que cette différence ne soit donc pas à l'origine de leur divergence, ils n'ont pas de rabbins et n'acceptent pas le Talmud du judaïsme orthodoxe. Les Samaritains refusent également les livres de la Bible hébraïque postérieurs au Pentateuque (Livres des prophètes et livres hagiographes).
Ils ne se considèrent pas comme Juifs, mais comme des descendants des anciens Israélites du royaume antique de Samarie. À l'inverse, les Juifs orthodoxes les considèrent comme des descendants de populations étrangères (des colons Assyriens de l'Antiquité) ayant adopté une version illégitime de la religion hébraïque, et à ce titre refusent de les considérer comme Juifs, ou même comme des descendants des anciens Israélites. Ils sont reconnus comme Juifs par l'État d'Israël.

Le mot « Samaritains » désigne les habitants d'un lieu géographique bien déterminé: la Samarie. La ville de Samarie fut construite par le roi Omri (886-875 av. J.-C.) qui donna à la ville qu'il avait bâtie le nom de Samarie (1 R 16,24). Un peu plus tard, la ville de Samarie donna son nom à toute la région qui l'entourait. C'est ainsi qu'au temps de Jésus, la Samarie constitue l'une des trois parties de la Palestine avec la Judée (au sud) et la Galilée (au nord).
     Bien qu'ils fassent parti du peuple choisi par Dieu, les Samaritains se distinguent nettement des autres Juifs. Sur le plan historique, certains événements contribuèrent à établir un fossé entre les Samaritains et les habitants de la Judée.
     L'opposition commence par le schisme de 935 av. J.-C. Le peuple hébreu se scinde alors en deux: le Royaume du nord et le Royaume du sud. Environ deux siècles plus tard, en 721 av. J.-C., les Assyriens s'emparent de la capitale de la Samarie pour mettre fin au Royaume du nord. À partir de cette date, la population samaritaine forme un regroupement de gens constitué d'Assyriens venus repeupler la Samarie et d'Israélites non déportés du Royaume du nord. Ces deux groupes se mêlent l'un à l'autre et il en résulte une « dilution » de leurs croyances religieuses respectives.
     Deux autres faits accentuent la division entre les Samaritains et les Judéens. D'une part, au VIe siècle av. J.-C., les Samaritains se construisent un temple sur le mont Garizim. Ce nouveau lieu de culte constituera un sanctuaire rival du temple de Jérusalem. D'autre part, en 166 av. J.-C., des troupes samaritaines se joignent à l'armée séleucide pour combattre Israël lors de la révolte des frères Maccabées: « Apollonius rassembla une troupe importante de Samarie pour faire la guerre à Israël. » (1 M 3,10)
     Au temps de Jésus, les Juifs considèrent les Samaritains comme des hérétiques (ils ne reconnaissent que les cinq premiers livres de la Bible), des schismatiques (en raison de leur temple sur le mont Garizim) et même comme des païens. L'Évangile selon saint Jean témoigne notamment de ces relations tendues entre Juifs et Samaritains. Ainsi, le dialogue entre Jésus et la Samaritaine rappelle que les Juifs n'ont pas de relations avec les Samaritains (Jn 4,9). De plus, les Juifs emploient le terme « Samaritain » pour injurier Jésus: « N'avons-nous pas raison de dire que tu es un Samaritain et que tu as un démon? » (Jn 8,48). Cependant, dans l'évangile selon saint Luc, Jésus rend hommage à un Samaritain. Jésus va même jusqu'à en faire un modèle de charité envers le prochain (voir Lc 10,25-37).
Daniel Montpetit
Source : Le Feuillet biblique 1498 (1993) page 2.


ou encore là


LES SAMARITAINS

Ce nom de Samaritain évoque dans notre culture chrétienne certains passages de l'Évangile. Nous identifions mal la population à laquelle il est ainsi fait référence et pouvons croire à une anodine allusion à un passé révolu. Et pourtant ! À l'aube du XXIème siècle, on trouve encore des Samaritains dans l'ancienne Palestine. Ils sont environ 700, dans les faubourgs de Naplouse et à côté de Tel-Aviv. Eux se disent héritiers du royaume du Nord quand, en 931 av. JC, Israël et Juda se séparèrent. Les juifs les rejettent, les estimant avec mépris descendants de " païens, " comme ils disent. Aujourd'hui encore, quand ils résident dans l'État hébreu moderne, sur les papiers d'identité des membres de cette minorité figure la mention " samaritain " et non " juif. "
Mais, dans le fond, qui sont les Samaritains ? Sur le plan religieux, leur judaïsme ne saurait faire de doute. Ils professent les lois et les croyances de cette confession. Mieux, ils pratiquent des liturgies tombées aujourd'hui en désuétude chez les juifs. Par exemple, tous les ans pour Pessah (la Pâque juive), ils égorgent des agneaux pour les sacrifier à Dieu. A ce titre, on pourrait les dire plus juifs que les juifs.
Des différences notables apparaissent cependant. D'abord, les Samaritains ne reconnaissent comme livre religieux que le Pentateuque, la partie de l'Ancien Testament allant de la Genèse au Deutéronome. En d'autres termes, ils s'arrêtent à Moïse.
Ils n'adhèrent pas non plus au Talmud (1). Enfin, ils ne font pas de Jérusalem, mais du mont Garizim, le centre de leur culte. Pour les célébrations pascales, ils se retrouvent chaque année sur cette éminence située au sud de Naplouse.
Les juifs interprètent ces divergences comme la marque de l'origine païenne des Samaritains.
Pour nous, ces différentes observations nous donnent à penser à une rupture surgie dans le passé. A un moment historique, quand Samaritains et juifs ont divergé formant deux branches d'une même religion. Reste à définir l'époque de la rupture.
On l'a vu, les juifs situent la divergence entre eux et les Samaritains après la division de l'État de David et Salomon, en 931 av. JC. Quand celui-ci se scinda en royaume de Juda, au sud, et Israël au nord, dont la capitale devint la ville de Samarie.

En accord sur ce point avec la Bible, l'Histoire situe la disparition du royaume de Samarie sous le roi Osée, au VIIIème siècle av. JC. Il fut vaincu par le monarque assyrien Salmanazar V et, selon les annales, 27 290 de ses habitants déportés en Mésopotamie. Des migrants venus des différentes régions s'installèrent alors en Samarie.
Dans ces conditions, le royaume de Juda restait le seul État juif et, estimait-il, le dépositaire de la tradition. Il faut en outre inscrire cette période dans le contexte de la compétition entre Israël-Samarie, au territoire plus fertile, plus riche par conséquent, et Juda, jaloux à l'endroit de ses coreligionnaires du nord.
Dans la Bible, le " Deuxième Livre des Rois, " œuvre des tenants de Juda, décrit les habitants de la Samarie conquise mêlés à des non-juifs et abandonnant la foi de Moïse. Ils y seraient revenus sous la pression du roi d'Assyrie pour échapper à une invasion meurtrière de lions. Par intérêt donc.
A l'analyse on comprend cette décision d'un roi non-juif peu crédible. On devine dans cette histoire une manoeuvre pour porter atteinte à l'image des gens de Samarie.
L'histoire continuant sa marche, le royaume de Juda tomba sous la férule des Babyloniens en 597 av. JC. Les "Judéens " furent à leur tour déportés en Mésopotamie où ils retrouvèrent les juifs de Samarie exilés un siècle et demi plus tôt.
Désormais répartis sur un domaine s'étendant de l'Iran à l'Égypte, les juifs risquaient de voir se dissoudre leur identité. A partir du IIème siècle av. JC, ils rédigèrent le Talmud. Du même coup, ils assimilaient des croyances nouvelles issues des religions mésopotamiennes et du monothéisme zoroastrien importé de Perse (2).
Évoqué plus haut, le rejet du Talmud (1) par les Samaritains est le signe du refus de ces juifs-là de tolérer les innovations acceptées par la majorité. Que les réfractaires fussent tous ou non originaires de Samarie n'y changea sans doute rien. Furent englobés sous la même appellation discriminatoire ceux qui refusaient les changements.
Voilà pourquoi il serait fort intéressant, de rechercher dans les textes sacrés samaritains les traces du judaïsme d'origine.

Jean Isnard
 
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21 sept. 2011

Que pense Thierry Meyssan de l'analyse d'Alan Sabrosky sur le role central d'Israel dans les attentats du 11 septembre ?

Comme souvent ce qui n'est pas dit est plus important que ce qui l'est. Le cas de Thierry Meyssan ne déroge pas à cette règle Orwellienne. Sa diversion a prit de l'ampleur et son rôle dans la préparation du choc des civilisations commence à prendre forme dans les esprits, qu'il devient urgent de le confronter à la réalité.

Plusieurs fois je lui ai écrit, pour lui exposer mes doutes, jamais il n'a répondu.  Et pire encore, la possibilité de lui répondre existait sous chacun de ses articles sur le site du réseau Voltaire.  Chose qui a disparu depuis que le site a été relooké...
Si quelqu'un a le moyen de le joindre, où mieux encore de l'interviewer, il serait judicieux de lui demander ce qu'il pense de l'analyse d'Alan Sabrosky, sur l'omniprésence Israélienne et juive dans les attentas du 11 septembre.

Voir sur le site Du Gentil, Pas Cachère sur cet article que je reproduis presque en intégralité.

Meyssan nous propose de réfléchir sur ces attentats, nous en faisons de même, et lui proposons de regarder vers cette direction qu'il néglige de façon volontaire, et de nous donner son point de vue.  S'il en a le courage.  lien vers l'article du Druide.  http://pascasher.blogspot.com/2011/09/demystifier-le-11-septembre-israel-et.html

Démystifier le 11 septembre: Israël et la tactique de l'erreur, par Alan Sabrosky (ancien dir. des études du US Army War College)



VIDEO - Press TV - Alan Sabrosky, US Marine Corps veteran, tells the truth about 911-Israeli operation


Démystifier le 11 septembre: Israël et la stratégie de l'erreur
par Alan Sabrosky
Il y a plusieurs années, j'ai lu une discussion fascinante sur la "stratégie de l'erreur." Cela impliquait essentiellement d'utiliser les préjugés et les idées préconçues d'une cible en l'induisant en erreur quant à l'origine et à l'intention de l'attaquant, et de la piéger dans une situation tactique qui jouera ensuite à l'avantage stratégique de l'attaquant.

C'est ce qui s'est déroulé dans les attentats du 11 septembre qui nous ont conduit dans l'engrenage des guerres et des conflits présents (Afghanistan et Irak), planifiés (Iran et la Syrie) et projetés (Jordanie et Égypte), qui profitent à Israël et aucun autre pays - bien que je concède que de nombreux entrepreneurs privés et politiciens tirent profit de la mort et de la misère des autres.

En tant qu'analyste stratégique, je suis aussi absolument certain, que le 11 septembre lui-même, d'où découle tout le reste, est une opération typique orchestrée par le Mossad. Mais le Mossad ne l'a pas fait seul. Ils ont eu besoin d'une aide de l'intérieur des États-Unis (et d'ailleurs aussi peut-être) et ils l'ont eu, principalement de quelques anciens du PNAC (le mal nommé Project for a New American Century [Projet pour un Nouveau Siècle Américain]) et leurs affiliés à l'intérieur et à l'extérieur du gouvernement américain, qui avec les attaques du 11 septembre tenaient enfin l' '"événement catalyseur" dont ils avaient besoin et dont ils rêvaient pour entraîner les États-Unis en guerre pour le compte d'Israël, huit mois seulement après son entrée en fonction.

Genèse de la tromperie

Ce n'est pas ainsi que les choses ont semblé au premier abord, bien sûr. Des listes de noms et de contacts des prétendus pirates de l'air ont rapidement fait surface dans les comptes-rendus officiels américains et les infos des grands médias de masse, montrant Oussama ben Laden et son groupe Al-Qaïda, alors largement basé en Afghanistan. Ben Laden a nié toute responsabilité, affirmant en effet que bien qu'il remercie Allah pour les attaques, il ne les a pas commises, mais les États-Unis ont exigé que les Taliban qui dirigeaient l'Afghanistan le livrent aux États-Unis. La réponse des Talibans était raisonnable: "Montrez-nous la preuve qu'il les a commises et nous allons vous le livrer." Mais les États-Unis ont écarté cela du revers de la main et les ont attaqué. Pourquoi? Parce qu'ils n'avaient pas la moindre preuve convaincante, et n'en obtiendraient jamais - même à la veille de sa mort publique en 2011, le FBI n'a toujours pas inclus le 11 septembre sur sa fiche d'accusation parmi les "Most Wanted" (littéralement: "Les plus recherchés") disponible sur Internet.

Alors que la guerre en Afghanistan s'étendait pour des raisons très douteuses dans une guerre en Irak pour des raisons encore plus spécieuses, le point de vue essentiel du gouvernement américain concernant le 11 septembre s'est intégré dans l'ethos public. Le rapport de la Commission du 11 septembre, en dépit du fait qu'il ait été handicapé dès le départ et qu'il se soit révélé plus tard comme étant profondément défaillant, apparaissait toujours comme l'ouvrage fondamental de référence sur les attaques. Des détails peuvent avoir été compromis, mais l'opinion dominante était que 19 pirates de l'air arabes avaient englouti quatre avions dans trois édifices et sur un site d'écrasement, et c'est tout. Ce fut la position adoptée par l'administration Bush en 2001, et réaffirmée une décennie plus tard par l'administration Obama. Des politiciens de toutes affiliations, une majeure partie des experts invités par les médias et des bataillons de pasteurs protestants (surtout évangéliques) ont confirmé leur appui à cette thèse.

Ni moi, ni la plupart des Américains n'avions de raison particulière de douter, à ce moment ou par la suite, de la véracité de ces affirmations. Néanmoins, j'ai eu de forts soupçons que quelque chose ne tournait pas rond pas avec le compte-rendu officiel états-unien de la tragédie sorti quelques semaines seulement après l'incident, alors que je répondais aux questions d'un journaliste local. Trop de choses apparaissaient comme des contre-sens: ces avertissements émis après les faits alors qu'il n'aurait dû y en avoir aucun, cette curieuse mauvaise conduite de la part des pirates allégués qui allaient à l'encontre à la fois de la mission et de leur foi, des compétences requises qui dépassaient de loin toutes les compétences que lesdits pirates eux-mêmes n'auraient jamais pu détenir pour la mission, et surtout cette totale absence de toute reconnaissance de ce qu'ils avaient fait de la part de qui que ce soit, sauf de leurs prétendues victimes - un fait sans précédent pour des actions de la sorte s'étant censément produites le jour du 11 septembre. Des discontinuités comme celles-ci et plusieurs autres ont renforcé mon soupçon à l'effet que quelque chose dans tout ça était pourri jusqu'à la moelle.

Il est un fait potentiellement beaucoup plus significatif que les songeries individuelles: c'est l'apparition progressive d'un mouvement de dissidence qui s'est finalement cristallisé dans le soi-disant mouvement de "Vérité du 11 septembre", qui a rapidement proliféré dans la formation d'une dizaines de grandes organisations et de nombreuses autres de moindre envergure ainsi que de sites Web disséquant les attaques, le rapport de la Commission, les motivations et les projets de représentants élus et nommés, et les alternatives à la version officielle. Mais les "Truthers" (chercheurs de vérité) du 11 septembre ont généré leur propre version de la campagne maoïste des "Cent fleurs", multipliant les assertions différentes sur tellement d'aspects différents de tant de différentes questions que le message principal s'est perdu. Le problème n'est pas qu'il manque de preuves permettant d'invalider la position du gouvernement américain sur le 11 septembre, c'est qu'il y en a trop pour permettre une focalisation claire sur ce qui s'est passé (tant d'arbres que personne ne peut vraiment voir la forêt).

Gardez bien à l'esprit que ce n'est pas que ce qui a été présenté n'est pas pertinent ou même forcément faux, même si certaines thèses assez bizarres ont été répandues parallèlement à une bonne quantité de travail réfléchi et équilibré. Un segment important a également tenu mordicus à ne jamais tirer les conclusions qui s'imposent - surtout quand Israël se retrouve dans l'équation d'une quelconque façon - gardant ainsi la marmite de rhétorique au point d'ébullition et sans résultat, plusieurs d'entre eux pour des raisons qui ne résistent pas à une analyse approfondie quant à leur appartenance et leur motivation.

Critiquer la critique du 11 septembre

La vraie difficulté avec bien des tentatives -- mais pas tous -- de critique et de remise en question de la position officielle des États-Unis sur le 11 septembre est que les propagateurs de la "vérité sur le 11 septembre" ont été incapables de communiquer leurs préoccupations - et encore moins une quelconque conclusion - au grand public de façon significative. Une grande part du débat n'est que partiellement compréhensible pour plusieurs personnes au sein du mouvement, elle est largement inconnue du grand public américain et elle est si compliquée dans toutes ses dimensions pour ceux qui en prennent conscience qu'ils ne parviennent pas à suivre le débat. C'est comme si les critiques de la version officielle du 11 septembre avaient tenté de juger l'affaire en justice avant même d'avoir obtenu un acte d'accusation - l'équivalent analytique de mettre la charrue (l'argumentaire) devant les bœufs (la nécessité pour le public de repenser le problème), créant ainsi une sorte de noeud gordien en ce qui concerne la preuve.

Cette analogie m'a frappé il y a longtemps comme un moyen approprié de repenser notre approche de la controverse du 11 septembre. Ce n'est pas que la question n'est pas complexe - elle l'est, de tellement de façons, et cette complexité devra être prise en compte un moment donné, mais il n'est pas nécessaire de rendre le public confus dès le départ avec tant de complexité.

Rappelez-vous qu'aux États-Unis, les preuves et les conditions de vote dans un grand jury habilité émettre une mise en accusation, sont très différentes de celles dans un petit jury qui juge véritablement d'une cause. Ce dernier a besoin d'une preuve de culpabilité, mais le premier n'a besoin que d'une indication suffisante que ledit crime spécifique peut avoir été commis, et que l'accusé peut l'avoir fait. C'est dans ce sens que nous devons orienter nos efforts, et c'est dans ce sens que je vais diriger mon argumentaire : il faut se concentrer sur les éléments essentiels essentiels pour une mise en accusation compréhensible et crédible pour une personne raisonnablement intelligente qui n'a pas forcément les compétences d'un ingénieur civil ou d'un aviateur.

Éplucher les détails

Il y a tellement de failles dans la position officielle du gouvernement américain sur le 11 septembre qu'il est parfois difficile de savoir exactement par où commencer. Un exemple qui se démarque est la survie miraculeuse d'un passeport, utilisé pour identifier l'un des pirates, qui s'est en quelque sorte frayé un chemin au travers de l'impact d'avion, de l'explosion, de l'incendie, et d'une chute libre de plus de 800 m pour être enfin trouvé par un homme bien habillé et donné à un détective de la police de New York City au pied des tours jumelles. L'habileté desdits pilotes, digne de véritables "superhéros", qui leur fit passer sans problème du pilotage d'un avion léger monomoteur à hélice à celui d'un cockpit d'avion de passagers et de réussir à faire autre chose que de s'écraser au sol moins d'une minute après avoir éteint le pilote automatique en est une autre - qui aurait jamais pensé que le programme Microsoft Flight Simulator était si parfait? Et les explications données par le NORAD (North American Air Defense Command) pour avoir échoué à plusieurs reprises à envoyer des chasseurs pour talonner les quatre avions quelques minutes après leur égarement sont individuellement douteuses et collectivement grotesques - il n'y a qu'à Hollywood qu'elles puissent avoir le moindre crédit, peut-être parce que c'est précisément de là qu'elles proviennent.

Le débat sur ces questions et plusieurs autres, et les implications de celles-ci, a été très étendu et parfois féroce, même s'il n'est pas particulièrement efficace. Ce qui n'est pas sujet à débat, cependant, c'est que l'édifice du WTC 7 - la troisième tour à s'effondrer ce jour-là et le seul à ne pas avoir été frappé par un avion - a indéniablement été détruit au moyen d'une démolition contrôlée, comme quiconque ne cherchant pas à protéger les attaquants le sait pertinemment grâce au vidéo en temps réel de son effondrement. C'est-à-dire, l'édifice WTC 7 est tombé bien droit sur ses propres fondations en quelques secondes sans causer le moindre traumatisme externe catastrophique visible, ce qui signifie que quelque traumatisme interne catastrophique pourrait avoir causé son effondrement. Et si le filage avait été mis dans le bâtiment pour sa démolition contrôlée, alors les autres tours qui se sont effondrées (WTC 1 et WTC 2) l'ont été elles aussi. Cela donne à l'impact d'avion un rôle cosmétique sordide, prévu explicitement pour dissimuler la véritable cause de l'effondrement des édifices, tout en créant un choc immense dans l'esprit du public, le jetant ainsi dans une sorte de torpeur.


Le cas de l'édifice WTC 7 est connu depuis longtemps par les détracteurs de la position du gouvernement américain sur le 11 septembre. Ce qui ne semble pas avoir été pleinement reconnu, du moins au début (cela change un peu maintenant), c'est que ce n'est pas simplement "une" question, mais la seule et unique question pouvant être adressée simplement, directement à l'opinion publique américaine, qui puisse discréditer efficacement la version du gouvernement américain, et du coup balayer la raison d'être de ses mensonges et méfaits si nombreux : non seulement des guerres étrangères inutiles (l'Afghanistan étant un conflit d' «amorce» visant à entraîner les États-Unis en guerre dans cette région, et à jeter les bases d'autres guerres à venir), mais également une violation substantielle des libertés civiles américaines en vertu de l'illégitime "Patriot Act", l'acceptation incroyablement généralisée de la torture (y compris une technique nommée ouvertement la «pendaison palestinienne», qui n'est assurément pas originaire de Boston et révèle quelque chose sur les habitudes d'Israël), et la création de prisons connues ou secrètes et autres centres de détention dans différents pays.

En seconde place par ordre d'importance, juste après la démolition contrôlée du WTC 7, et complétant la thèse selon laquelle avec ou sans impact d'avion les bâtiments ont été démolis par d'autres moyens, nous retrouvons d'abondantes preuves audio-visuelles sur le 11 septembre, tandis que les tours jumelles se tenaient encore debout sur l'emplacement qui sera connu par la suite comme "Ground Zero". Ces preuves comprennent des clips vidéos en temps réel des explosions secondaires au niveau du sol dans les deux tours WTC 1 et WTC 2 (vous pouvez entendre les détonations et voir de la fumée et des débris propulsés), des témoignages sur plusieurs chaînes télé sur ces explosions et sur des fourgonnettes étranges à l'intérieur et autour de ces bâtiments avant les explosions secondaires, des témoignages de techniciens d'urgence médicale disant la même chose et signalant des personnes, à l'intérieur et autour des halls d'entrée de ces édifices, qui n'étaient pas du personnel d'urgence et qui ne fuyaient pas la catastrophe - tout cela le jour du 11 septembre et largement signalé le jour même.



Et un troisième élément, fondé sur ce qui précède et y rajoutant sa propre dimension, est la présence d'un certain nombre de fourgonnettes (surtout blanches) appartenant - pour autant qu'on puisse le déterminer, considérant que les informations les concernant ont été retirées du domaine public - à une société israélienne (ou plutôt une société détenue par un Israélien, pour être précis) dans le New Jersey. Certaines de ces fourgonnettes étaient régulièrement aperçues autour du World Trade Center lui-même. Mais deux d'entre elles se démarquent, et doivent être examinées en détail pour que l'on puisse en apprécier la signification.

Tout d'abord, des résidents de Bergen, dans le New Jersey, ont vu cinq personnes sur une fourgonnette blanche en train de filmer les attaques et, visiblement, en train de célébrer. Ils avaient installé leurs caméras avant le premier écrasement d'avion. La police les a arrêtés. Ils étaient tous Israéliens (les désormais célèbres «Israéliens dansants»). Les chiens renifleurs ont réagi comme s'ils avaient détecté des explosifs, même si les agents ont été incapables de trouver quoi que ce soit. Le FBI a saisi la fourgonnette pour la soumettre à des tests approfondis. Tous les cinq ont plus tard été relâchés à l'instigation de dirigeants israéliens et juifs américains, dont certains à l'intérieur du gouvernement américain. Les détails sont encore classés secret. Cet incident a très vite disparu des médias grand public, après une brève mention dans le New York Times trois jours après les attentats, qui n'eut aucune suite.

Une seconde fourgonnette a été arrêtée sur les abords du pont George Washington. Comme Dan Rather de CBS l'a dit dans son bulletin de nouvelles en direct: «Deux suspects sont tenus en garde à vue par le FBI après qu'une cargaison d'explosifs ait été découvert autour du pont George Washington. Ce pont relie New York au New Jersey, au-dessus de la rivière Hudson. Que la découverte de ces explosifs ait eu quelque chose à voir avec les autres événements d'aujourd'hui, cela n'a toujours pas été éclairci, mais le FBI, qui a mis la main au collet de deux suspects, soutient que le camion d'explosifs contenait suffisamment d'explosifs pour causer d'énormes dommages au pont George Washington ... " Ces suspects - eux aussi Israéliens - et l'incident les impliquant, semblent ensuite avoir disparu du domaine public et de l' "enquête" (sic) des médias dominants sur le 11 septembre, tout comme les discussions sur la première fourgonnette, sur les explosions secondaires au niveau du sol au sein des édifices WTC 1 et WTC 2, et sur l'effondrement précipité du WTC 7 sur ses propres fondations.

L'impact combiné de ces derniers et beaucoup d'autres facteurs est à la fois stupéfiant et convaincant. Pensez-y: des explosions secondaires au niveau du sol là où il ne devrait y avoir aucune explosion secondaire. L'effondrement catastrophique de l'édifice de 47 étages du WTC 7 sur sa propre fondation et ce en quelques secondes, sans aucun traumatisme externe important, là où normalement il ne devrait pas y avoir eu d'effondrement. Des camionnettes dans lesquelles se trouvent des cartes avec des cibles encerclées, des explosifs ou des traces de ceux-ci, des caméras pré-positionnées pour filmer le World Trade Center, et plus spécialement des Israéliens avec ces fourgonnettes présents là où il n'aurait pas dû y avoir d'Israéliens ni toutes ces choses simultanément présentes en ces lieux, à ce moment précis.

N'importe lequel de ces éléments de questions aurait dû être suffisant pour stimuler un réexamen en profondeur de l'interprétation gouvernementale du 11 septembre, et en particulier du rôle réel ou putatif d'Al-Qaïda dans celui-ci. À elles seules, les fourgonnettes nous éloignent de la piste d'Al-Qaïda, à moins qu'on suppose qu'Al-Qaïda ait été une façade pour les intérêts d'Israël, ou que le Mossad avait à tout le moins exécuté une opération parallèle à celle-ci et plus meurtrière que tout ce qu'Al-Qaïda aurait pu réaliser à ce moment précis, en ce jour précis. Le plus fascinant c'est le peu d'impact que cela a eu sur la conscience de ces détails du 11 septembre au sein du grand public, et encore moins sur la politique officielle des États-Unis qui s'est fondée sur le 11 septembre. Un silence assourdissant, une véritable chape de plomb étouffe toute discussion officielle ou médiatique du 11 septembre non-conforme à l'interprétation officielle, empêchant cette dissonance d'atteindre le grand public.

Chape de plomb sur le 11 septembre

Trois éléments ont contribué à enterrer dans un silence assourdissant tout effort visant à dénoncer publiquement les failles de la version officielle étatsunienne du 11 septembre. L'un d'eux se trouve au sein de l'Exécutif. Un autre est au sein du Congrès. Et le troisième est les médias traditionnels.

Le premier n'a rien de surprenant, considérant que tant de ses membres-clé (et en particulier ses soi-disant «néo-conservateurs») ont été les auteurs de la thèse des "19 Arabes identifiés dans quatre avions", et ses apologistes de facto que l'on retrouve au sein des professionnels responsables de la Commission sur le 11 septembre. En effet, plusieurs d'entre eux avaient un intérêt personnel et professionnel dans le maintien de la validité du discours officiel.

Un nombre surprenant faisaient partie du très pro-Israël Project for a New American Century (PNAC) lorsque ce dernier a publié un rapport affirmant qu'un "événement catalyseur" similaire à Pearl Harbor serait nécessaire pour entraîner les États-Unis dans la direction qu'ils désiraient (et qui profiterait énormément à Israël). Les attaques du 11 septembre leur ont donné leur événement catalyseur, et ils ont visiblement tiré profit de cette opportunité. Plusieurs sont juifs, souvent détenteurs de la double nationalité américano-israélienne et un engagement à agir en faveur d'Israël. Tous étaient partisans d'Israël. Et nul besoin de sauter aux conclusions pour comprendre qu'une Amérique consumée par une rage anti-arabe et anti-musulman entraînerait inévitablement et inexorablement le cours des choses directement ou indirectement au profit d'Israël - ce qui, bien sûr, est précisément ce qui s'est produit au cours de la dernière décennie.

Une chose clairement plus surprenante fut l'acceptation par le Congrès de l'explication officielle, ou plutôt le manque d'enquêtes et de recherche sur celle-ci et sur les événements du 11 septembre, du moins par les démocrates (le parti d'opposition). Mais en réalité, ce n'était pas du tout surprenant. Ce n'était pas juste le fait qu'essentiellement les responsables de l'administration «parlaient tous d'une seule voix» sur cette question, ou que les républicains au Sénat avaient au moins réussi à empêcher les démocrates de tenir des audiences, du moins au début. C'est que tandis que plusieurs (surtout des démocrates) en sont venus plus tard à questionner la guerre en Irak, et certains encore plus tard la guerre en Afghanistan, aucun effort législatif effectif n'a été entrepris pour enquêter sur les faits du 11 septembre - et surtout les nombreuses contradictions, les incohérences et les aspects incroyables de l'explication officielle. Il s'agit là d'un résultat prévisible des importants efforts de lobbying menés par l'AIPAC (American-Israel Public Affairs Committee), «encourageant» sénateurs et représentants des deux partis à faire dans cette affaire ce qu'ils font le mieux - rien du tout - et punissant la poignée qui rechignait en marginalisant leurs efforts en cours de mandat, et en oeuvrant avec succès à leur défaite électorale plus tard.

Il est un fait chevauchant ces deux parties et constituant un élément crucial dans le contrôle sioniste du gouvernement américain, qui est parfois négligé: c'est leur contrôle des processus de nomination et de confirmation politique. Le Bureau du personnel [Chief of Staff] de la Maison Blanche a été largement dominé par eux, depuis au moins 1980, et peut-être avant, réduisant ainsi dès le départ la probabilité que soient nommés des gens hostiles à Israël ou qui n'appuieraient pas ses «manières et moyens». La sélection des candidats par les principaux groupes juifs organisés des États-Unis avant qu'ils aient le temps de se rendre au Sénat américain pour leur audition de confirmation a fait également partie intégrante de ce processus durant des décennies, comme Ha'aretz (quotidien israélien) parmi plusieurs autres l'a souligné. Cela force des candidats par ailleurs excellents à se retirer s'ils ne conviennent pas aux dits groupes juifs. Et à cet égard, le pouvoir de l'AIPAC au Sénat américain est crucial: celui que l'AIPAC veut voir confirmé sera confirmé, et celui qui parviendrait malgré tout à se rendre jusque là mais qui n'est pas acceptable aux yeux de l'AIPAC n'a aucune chance.

C'est pourquoi tant sous les républicains que les démocrates, le personnel qui côtoie de près ou de loin le président et le vice-président, le Conseil de sécurité nationale, le Département d'État et le Département de la Défense (entre autres) ont l'air de ce qu'ils ont l'air. Plusieurs sont juifs et activement sionistes, souvent avec la double nationalité américano-israélienne (quoique l'absence d'un passeport israélien ne soit pas vraiment si importante pour les autres). Certains sont des chrétiens sionistes qui n'ont pas besoin qu'on les persuade de prendre les positions pro-israéliennes qu'ils prennent - je ne peux que frémir à l'idée du genre de personnel et de nominations dont s'entourerait un président comme Michele Bachmann ou Mike Huckabee. D'autres sont ce que les communistes avaient l'habitude d'appeler des «idiots utiles», souvent des gens intelligents comme Condoleeza Rice ou John Bolton qui ont scellé leur propre pacte faustien dans l'intérêt de l'avancement de leurs propres carrières. Et le reste d'entre nous vivons avec les conséquences des choix faits par chacun d'eux -- le 11 septembre et les guerres qui suivirent n'en étant pas les moindres.

Mais ce qui est le plus fascinant, et qui a été le plus efficace dans l'étouffement de tout débat public sur le 11 septembre, c'est le rôle des grands médias largement détenus par des sionistes qui permit à la version gouvernementale du 11 septembre de se répandre pratiquement sans contestation. Cela était contraire à l'ensemble de son ethos post-Vietnam (et surtout son ethos post-Watergate/post-Papiers du Pentagone), qui avait mis le journalisme d'investigation sur un piédestal et voué un culte au travail d'enquête et de dévoilement des méfaits des entreprises et du gouvernement, tant pour les bénéfices pécuniers que pour l'avancement professionnel. Rappelez-vous que, au moins depuis la publication des soi-disant "Papiers du Pentagone" au cours de la guerre du Vietnam, l'instinct normal des médias de masse est d'enquêter et de dévoiler, à moins que cela révèle une faute d'Israël ou que cela fasse mal paraître Israël, auquel cas son instinct quasi primitif est de dissimuler et protéger.

L'impulsion inquisitoriale normale des médias de masse n'était pas aussi évident dans le cas du 11 septembre. C'est parce que les enquêtes critiques du 11 septembre ont été largement ignorées ou réprimées par les médias de masse - qui ne feraient pas cela si ses propriétaires largement sionistes ne savaient, ne suspectaient ou ne craignaient que la révélation d'une piste probante mène, en tout ou en partie, directement ou indirectement à Israël. En effet, si la piste probante avait semblé mener à (par exemple), l'Iran au lieu d'Israël, ou si sa provenance était même modérément incertaine, les médias de masse auraient déchiqueté avec véhémence la version gouvernementale depuis longtemps, et le discours du mouvement pour la "Vérité du 11 septembre" ferait la Une des plus grands journaux et jouirait de bonne publicité dans des émissions de télé et à la radio.

Ce n'est évidemment pas ce qui s'est produit et cela devient rapidement évident dès que l'on examine l'approche des médias de masse vis-à-vis du 11 septembre. Son rôle a été triple: (a) désinformation - pour affirmer, ou au moins ne pas questionner ouvertement la version gouvernementale, (b) distraction - pour détourner l'attention d'Israël et du PNAC/néo-conservateurs, et (c) doute - ignorer ou ridiculiser ceux qui remettent en question la thèse officielle des États-Unis. Ce que les gens choisissent de dissimuler en dit long sur la dynamique de la situation, et le résultat final de la contribution des médias a été d'avoir créé une brume d'incrédulité et de doute là où il ne devrait y en avoir aucun.

Ce processus a commencé presque immédiatement. Des reportages dramatiques et révélateurs en temps réel sur les détails de l'attaque sont apparus le 11 septembre, dont plusieurs n'impliquaient pas directement les avions de ligne détournés. Au cours des quelques jours qui suivirent, des journaux locaux et des stations régionales rapportaient encore des versions discordantes des événements (par exemple, la fourgonnette avec les «Israéliens dansants»). Mais en moins d'une semaine, la plupart des dissonances avaient disparu ou avaient été reléguées aux pages intérieures et à leurs équivalents électroniques, en particulier ce qui concerne le WTC 7, dont l'effondrement est devenu un non-événement, ou ce qui concerne la présence d'Israéliens dans les fourgonnettes et ailleurs, en même temps que la machine de propagande du gouvernement américain - aidée activement par la plupart des médias de masse - se mobilisa contre Al-Qaïda et appuya par la suite l'invasion de l'Afghanistan.

Le chemin vers le 11 septembre

La provenance des attaques du 11 septembre devient encore plus claire quand on les regarde comme un exercice classique d'opérations secrète. De manière générale, il y a trois conditions pour évaluer l'origine et les perspectives de réussite de toute opération secrète de renseignement: (a) la motivation, (b) l'expertise, et (c) un soutien local pour l'accès à la cible et l'évasion suivant l'attaque.

Penchons-nous d'abord sur la motivation. Le fait que tant de mouvements et de gouvernements du monde entier nourrissent non seulement de l'aversion et de la méfiance envers les États-Unis, mais les détestent avec une passion et pour de meilleures raisons que j'oserais même concevoir, constitue un témoignage amer sur la dérive des États-Unis par rapport à ses besoins stratégiques et à ses propres principes. Je suis récemment tombé sur une remarque faite par un prêtre jésuite à l'effet que «Chaque fois que j'entends que Israël est le seul ami de l'Amérique au Moyen-Orient, je me souviens qu'avant Israël, l'Amérique n'avait pas d'ennemis au Moyen-Orient» - un point qui vaut bien d'être rappelé.

Mais la chose intéressante à propos des mouvements variés et des gouvernements qui auraient pu avoir une raison réelle ou supposée de faire du mal aux États-Unis, est que tous sauf un avaient une incitation négative de le faire: punir les États-Unis pour certaines défaillances ou méfaits réels ou présumés. La seule exception est Israël. Israël n'avait pas d'incitations négatives du tout (j'exclus certains fanatiques vraiment marginaux), simplement parce que sans l'aide américaine et le soutien diplomatique, Israël se trouverait dans une situation encore pire que celle de l'Apartheid en Afrique du Sud, et pour cause. Mais il est le seul État avec une incitation positive, s'il croyait pouvoir s'en tirer après un coup pareil, qui est d'enrager le public américain contre les musulmans en général et les Arabes en particulier, et de faire des États-Unis un va-t-en-guerre actif dans la région - dépensant ainsi les vies américaines et l'argent américain au service des intérêts d'Israël.

L'expertise est différente et plus diffuse. Il y a de nombreuses unités d'opérations spéciales et de renseignements dans le monde qui détiennent l'expertise pour placer le filage requis dans une grande structure urbaine pour en effectuer la démolition contrôlée. Il y a beaucoup d'unités de génie de combat dans de nombreux pays qui pourraient faire la même chose. Et il y a beaucoup d'entreprises privées qui se spécialisent là-dedans elles aussi. Toutefois, ni Al-Qaïda en tant qu'organisation, ni aucun de ses affiliés connus - et encore moins les 19 Arabes identifiés qui se trouvaient supposément à bord de ces quatre avions - ne possédaient cette expertise, ou n'importe quoi y ressemblant vaguement, même de loin; s'ils l'avaient fait, la Zone verte à Bagdad aurait été un tas de ruines.

Mais c'est le soutien local qui est le facteur déterminant. Toutes les opérations clandestines bien conçues nécessitent une certaine part de soutien local, officiel ou non, à moins que la zone cible irrémédiablement hostile au point qu'aucune aide n'est disponible. Toute agence de renseignement nationale ou étrangère ciblant le WTC en aurait absolument besoin, et le Mossad serait mieux placé qu'aucune autre agence pour obtenir un tel soutien facilitant l'accès à la cible, l'exécution et l'évasion suivant l'attaque.

Cela est particulièrement vrai, considérant la compagnie de sécurité supervisant le WTC. Des membres du personnel de la CIA et / ou de la Défense (ce qui n'est pas la même chose que la CIA ou le Département de la Défense en tant qu'organisations) ont pu y avoir accès, mais uniquement avec une approbation israélienne - on n'ouvre pas les murs tout bonnement pour y planter des explosifs, passer des câbles et connecter tous les fils ensemble dans des bâtiments équipés d'une surveillance électronique top niveau et de la sécurité sur place 24 heures par jour, 7 jours sur 7. Le Mossad n'aurait pas eu besoin de telles subtilités, si l'on considère qui possède le complexe du WTC et qui gère l'entreprise supervisant sa sécurité. N'oubliez pas que, dans tous les cas, nous ne parlons pas d'un grand nombre de personnes: vu le temps requis pour la préparation les trois bâtiments et la protection contre la détection, requiert aussi peu qu'une douzaine d'individus, un nombre assez petit pour passer effectivement inaperçu dans une grande organisation.

Rétrospective et perspectives

Récapitulons donc les conclusions fondamentales de cette analyse. Premièrement, le discours officiel du gouvernement américain sur le 11 septembre est que chacun des aspects de celui-ci est directement attribuable aux 19 Arabes identifiés dans les 4 avions, menant une opération terroriste planifiée et exécutée par le réseau Al-Qaïda d'Oussama Ben Laden. Ce récit est au mieux incomplet, au pire une invention complète conçue par ceux qui sont directement ou indirectement responsables de ce qui s'est passé le 11 septembre, et des guerres qui ont suivi.

Deuxièmement, Al-Qaïda et de nombreux pays et groupes différents avaient des raisons négatives, réelles ou fausses, de vouloir nuire aux États-Unis. Mais seuls Israël et son aile néoconservatrice aux États-Unis avaient une incitation positive à le faire, qui était d'enrager les Américains et de faire des États-Unis un va-t-en-guerre actif contre les pays musulmans, consolidant ainsi sa liaison à Israël et à ses intérêts.

Troisièmement, il ne fait aucun doute que des avions civils chargés à pleine capacité, en particulier avec des réservoirs de carburant quasiment pleins, s'écrasant sur les tours jumelles (WTC 1 et WTC 2) porterait gravement atteinte à ces bâtiments, et que dans des circonstances extraordinaires cela aurait pu déclencher une chaîne d'événements conduisant à leur effondrement. Mais il n'est absolument pas possible que ces impact d'avions à 800-1000 pieds au-dessus du sol aient pu produire des explosions secondaires visibles et audibles dans ces bâtiments au niveau du sol, ni qu'ils aient pu précipiter l'effondrement d'un troisième bâtiment (WTC 7) qui n'a pas été touché par un quelconque aéronef et qui ne présentait aucun dommage externe considérable dû aux débris éjectés du World Trade Center.

Quatrièmement, Al-Qaïda - et peut-être aussi d'autres groupes - avait la capacité théorique d'effectuer simultanément quatre détournements d'avion, peut-être de faire voler l'avion vers Cuba (les quatre avions du 11 septembre auraient dû être en mesure de faire un aller simple jusque là-bas sans difficulté au début de leur journée d'opérations, selon leurs charges réelles), ce qui aurait été spectaculaire en soi. Cependant ni Al-Qaïda, ni aucun de leurs affiliés ne détiennent l'expertise ou le soutien local nécessaires pour leur donner accès à l'un ou l'autre des bâtiments du World Trade Center, pour ouvrir les murs et brancher le filage requis pour la démolition contrôlée, pour enfin s'échapper et prendre la fuite.

Enfin, cinquièmement, en plus d'être le seul à avoir une incitation positive à réaliser les attaques du 11 septembre, seul Israël avait le savoir-faire essentiel et le soutien local nécessaire pour faire s'écrouler les trois tours du World Trade Center au moyen de démolitions contrôlées, de même que le pouvoir, à l'intérieur et autour du gouvernement des États-Unis, de laisser ses agents échapper à la détection, de les relâcher sans attirer l'attention s'il venaient à être appréhendés de manière inattendue, et de dissimuler leurs actions face au grand public - tout cela s'étant effectivement produit le 11 septembre et subséquemment.

Les gens demandent souvent quelque nouvelle indication ou nouvel élément de preuve reliant le 11 septembre, en tout ou en partie, à Israël. Maintenant, je comprends qu'il ne pourra jamais y avoir de preuve absolue pour certaines personnes à moins d'une confession publique de l'un des planificateurs israéliens ou de leurs sympathisants américains, et cela, je soupçonne que nous ne pourrons jamais l'obtenir - même si certaines des déclarations faites plus tard en Israël par trois des Israéliens arrêtés à Bergen (New Jersey) après avoir filmé l'incendie des tours jumelles se rapproche beaucoup d'une telle confession: l'un d'eux a affirmé catégoriquement que «notre but était de documenter l'événement», ce qui devrait laisser peu de doute à l'effet qu'ils étaient informés à l'avance que l'attaque était imminente, qu'ils aient joué ou non un autre rôle dans cette affaire.

Mais il n'est pas nécessaire d'avoir un tel aveu, pas plus qu'il n'est nécessaire d'avoir une confession devant un tribunal pénal pour condamner une personne pour meurtre, si les autres preuves sont suffisamment convaincantes. Ici, il y a une montagne de preuves physiques, techniques, analytiques et circonstancielles, bien plus que nécessaire pour qu'une personne non-biaisée comprenne, au-delà du moindre doute raisonnable, que (1) la version gouvernementale est fondamentalement viciée, et que (2) c'était une opération dirigée par le Mossad, orchestrée au plus haut niveau du gouvernement israélien (à cause de la cible) avec un soutien local aux États-Unis et de la part de certains éléments du gouvernement américain.

Compte tenu de l'omniprésence de l'influence sioniste dans le gouvernement américain et ses agences de renseignement et de sécurité (y compris bien sûr le Département de la Défense), deux grands scénarios sont possibles. Le premier est que les néo-conservateurs et leurs cohortes occupaient le siège du conducteur alors qu'Israël occupait le siège du passager, tenant en main la carte et les bagages. Le second présente Israël comme conducteur alors que les néo-conservateurs et certains autres tenaient en main la carte et les bagages. Mais ils étaient tous deux dans la même voiture en se rendant au 11 septembre et en revenant. Tous deux ont été impliqués dans des aspects de la planification et de l'exécution de la catastrophe, dans les guerres qu'elle a engendré et dans les guerres où ses architectes veulent maintenant nous entraîner au profit d'Israël, plaçant en tandem la trahison et la tromperie, peu importe où l'accent est mis.

Démêler toute cette affaire est quelque chose que nous réservons à une enquête à venir, comportant des interrogatoires et des procès, suivis de sanctions proportionnelles à l'ampleur des crimes de tous les participants. Comment sensibiliser d'une manière pratique et réalisable le public américain et d'ailleurs, cela fera l'objet du dernier article de cette série: Riposte Against Zionism: Go Tell It To The People.

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Alan Sabrosky (Ph.D, Université du Michigan) est vétéran depuis 10 ans du 'US Marine Corps'. Il est diplômé du US Army War College. Il peut être contacté à docbrosk@comcast.net







9/11 and Israel: Alan Sabrosky’s Shocking Press TV Interview

17. Jul, 2011

“We Know Who, We Even Know Why…” Tying Israel Irrevocably to 9/11.

EDITORS NOTE: An outstanding, courageous interview by Dr. Alan Sabrosky. Those of you who are still undecided about what really happened on 9/11, PLEASE take 20 minutes of your time to listen to Alan Sabrosky explain the motivation, expertise and access in his estimation of the perpetrators of 9/11 attack on the United States World Trade Center.

This week, Dr. Alan Sabrosky, Managing Editor at Veterans Today, was interviewed on 9/11 and Israel’s involvement and their influence in American affairs. Dr. Sabrosky is interviewed by Susan Modaress of Press TV. Runtime is 20 minutes.
Alan, I call him that, a fellow editor, fellow Marine and good friend, does what few do when discussing issues of such extreme controversy. Alan sticks to the facts, takes the facts to logical conclusions and stops there. Any American of any political leaning or ethnicity can and should, out of patriotism and out of sanity, watch this interview.

The case made is a case that will stand up in a court of law, a case not contrived for entertainment, for propaganda or for an emotional “fix,” feeding hate, prejudice or the desire by some for conspiracies to fill the void of a life bereft of meaning.
Alan Sabrosky is “serious as a heart attack.”
There is an underlying message to this interview, intended or not. Dr. Sabrosky establishes a defensible position and sets limits.
A majority of Americans are aware that 9/11 had clear signs of government complicity, both operationally and in the subsequent investigation that even Judge Napolitano and Geraldo Rivera of Rupert Murdcoch’s FOX NEWS called a “whitewash.” A major Australian poll taken last fall showed 77% of people there believe the US government to be fully complicit in 9/11. Similar polls in the US regularly score over 50%, some much higher.
Sabrosky’s case, presented with much clarity, plants responsibility for 9/11 at the feet of Israel and Americans whose loyalties, if we can call them that, are certainly not to the United States. That these “Americans” now believed to be complicit in the planning and execution of the 9/11 terror attacks are, for the most part, officials of the government, is telling.
Their complicity couldn’t be more obvious if they were caught standing with the detonation switches in their hands.
Israel is a different story, a public relationship characterized as “close friendship” and a private one that more closely resembles that between America and the Soviet Union at the height of the Cold War.
Most Americans are not aware of how the relationship between Israel and the United States has soured over the past 40 years. Behind an endless barrage of stories of the holocaust and fear mongering about Antisemitism, political extremists in Israel and their allies in the US, many in positions of extreme power and influence, have contrived to seriously harm the United States, ostensibly under the guise of “support for Israel” and misrepresented security issues.
Sabrosky calls it “high treason.”
Below, the forgotten Geraldo Rivera report on 9/11, now “disappeared” from history, from the archives, forgotten and victim of its own “coverup.”


Postscript
Beyond this, the past decade has bombarded the American public and the world with wildly conflicting conspiracy theories and phony science, the worst of it from the American government itself.
What can I say as a postscript or commentary to the interview? Liberal, conservative, Jew, Gentile, what Alan Sabrosky says is simply the truth. He has the credentials and the character to know the truth.
The message:
Believing the government and mainstream media’s version of 9/11 and allowing Israeli “dual citizens” to serve in government or electing and appointing officials whose relationship with Israel is detrimental to the security of the United States is inconsistent with citizen responsibility for any American.


The Dark Truth About 9/11 Emerges From The Fog of Infowar

By Saman Mohammadi
The Dark Truth About 9/11 Emerges From The Fog of Infowar.
"I stand amid the roar
Of a surf-tormented shore,
And I hold within my hand
Grains of the golden sand--"
- Edgar Allan Poe, A Dream Within A Dream.

Once the summer ends, we will hear more talk about another world war as Israel's delusional leaders begin to direct their brainwashed army towards Lebanon, Syria and Iran. Nuclear war is on the demented minds of Israel's Prime Minister Benjamin Netanyahu and Minister of Defense Ehud Barak. Peace was never an option for these two restless men whose minds are clouded by extreme hatred, and evil desires. They will do anything to stop a Palestinian state from coming into being, including starting world war three by bombing Iran.

A world war will destroy modern civilization as we know it. Many people know the world is already in a state of global emergency. Truth is outlawed in America and the West. Believers of freedom, justice and honour are laughed out of the room as "conspiracy theorists," and "nutjobs." But there are millions of us who know better and will not be deterred by these psychological attacks. We know the infowar is not for the weak minded. We are not stupid and we are not cowards.

We know who was really behind the 9/11 attacks. We know who is behind all this global chaos that has been visited upon a shell-shocked world since September 11, 2001. We know mankind is at the edge of the abyss. Our so-called democratic governments, media institutions, and political leaders have not only failed us; they have betrayed us.

The real perpetrators of the 9/11 attacks will pay for what they have done in the name of America, freedom and democracy. Believe it. Justice will be done. Real change is not a failed hope just because that two-faced traitor Barack Obama has not brought the criminals behind the 9/11 attacks and the war on terror to justice.

Evil is not the only force that is active in this world. Good people everywhere are standing up and raising their voices to call the world's attention to the dark truth about 9/11. We will not be stopped. The truth about the 9/11 attacks is not a matter of debate. The facts show that Israel and American traitors inside America's shadow national security state attacked America on September 11, 2001. They used the tragedy to unleash their mad dream: a quiet war on freedom and truth in the West, and a total war on regimes in the Middle East which have embraced the path of independence and self-reliance in defiance of U.S.-Israeli-British imperialism.

Alan Sabrosky, a Marine Corps Vietnam veteran and a 1986 graduate of the U.S. Army War College, is courageously raising public awareness about the truth of the 9/11 attacks. In an interview with Press TV on July 13, 2011, Mr. Sabrosky addressed the prejudiced notion that any alternative interpretation of the 9/11 attacks is simply a "conspiracy theory," saying:

Back in the early 80s, when I was in Washington at the Center for Strategic and International Studies, one of our visitors for a lunch and talk was a young gentlemen then named Francois Heisbourg. Heisbourg was the specialist assistant to French President Francois Mitterrand. I don't know how the subject came up, but he said, "you know, Americans never see conspiracies anywhere." "We French," he said, "we see conspiracies everywhere. And both of us are wrong."
Sabrosky continued:

This is not a conspiracy (referring to the view that Israel and high-ranking U.S. officials did 9/11) in the sense that the word is usually used, which is to denigrate an opposing argument. When someone in the United States says that "that's a conspiracy," or, "that's a conspiracy theory," by definition they mean it is irrational, illegitimate, and without proof. All I would suggest to people is that you look at the films of WTC 7, that third tower going down on September 11; you look and listen to the reports on September 11 with the secondary explosions. These are not fantasies. They happened. You look at the reports on September 12 of the apprehension of Israelis with vans of explosives and cameras filming the events on September 11. These are not fantasies. And you look at the people riddling the American government, all of the Middle East people in State, Defense, and the National Security Council; Deputy Secretary of Defense Paul Wolfowitz, Under Secretary of Defense for Policy Douglas Feith, who used to be a friend of mine, by the way, from Philadelphia. These people were all part of the neoconservative movement. Many of these people are dual U.S.-Israeli nationals. All of their primary allegiance is to Israel.
Alan Sabrosky is a real American patriot. Like many others, he is educating the American people in order to save America from the evil traitors who want to turn America into a full-fledged dictatorship.

The traitors who stabbed America in the back on 9/11 were in the Bush administration, and the Pentagon's Office of Special Plans (George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Condoleezza Rice, Karl Rove, Paul Wolfowitz, Douglas Feith, Lawrence Franklin, Abram Shulsky, Michael Ledeen, Michael Chertoff, and many others).

The individuals who are part of the neocon cult worship the philosophers Leo Strauss and Machiavelli, and hate America's founding fathers. They are the scum of the Earth and the greatest enemies of freedom in our time. If their evil plan for America and the Middle East is not exposed and defeated then there won't be an America, or an Israel, or a Canada, or an England, or an Iran, or a Lebanon to speak of. Iraq and Afghanistan have already suffered at the hands of the neocon death cult. All nations that the neocons wish total war upon, including America, will experience hell on Earth if we don't come together and send these psychopathic killers back to the hell they came from.

Video Links:



Dr. Alan Sabrosky: Israel behind 9/11, Part II


“Further, the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event- like a new Pearl Harbor.”
Dr. Alan Sabrosky has written yet another brilliant article about a subject that I write frequently about here: the fact that the state of Israel and criminal elements in the U.S. government (many of whom are Jews with ties directly to Israel, all of whom are Zionist traitors) were behind the FALSE FLAG/INSIDE JOB 9/11 fraud. And I’m using the word “fraud” now to describe what happened on 9/11. I’m pretty convinced almost everything described by the media, by our political and military officials and others in the limelight, about what happened that day is a complete farce, including many of the passengers (see here and here), videos (see here and here), and airplanes. We’ve leave that discussion for another time. I want to focus on Dr. Sabrosky’s article today. By the way, Dr. Sabrosky was interviewed by Dr. Kevin Barrett on July 5th, and those interested can listen to that interview here.
I have written about Dr. Alan Sabrosky, a former U.S. Marine and easily one of the most strategic analytical thinkers in the country, before. He argues, quite correctly in my opinion, that 9/11 is the schwerpunkt, or the strategic center of gravity, in analyzing anything that is occurring geopolitically or militarily. And I agree: 9/11 is what all this madness we’re seeing right now boils down to. And we have to address the fact that all of the evidence, literally, points to this operation being carried out by Israeli intelligence, which was facilitated primarily by an organized criminal network in the U.S. This criminal network consists of the Jewish-owned corporate media, the owners of the towers and other private actors, and Zionist agents and puppets controlling all key positions of power in the U.S. government.
Of course, anyone analyzing the events of 9/11 knows full well that what happened that day could not have occurred without tactical and logistical support by elements in the U.S. government and media, and Sabrosky recognizes this in his piece “Demystifying 9/11: Israel and the Tactics of Mistake“:
I am also absolutely certain as a strategic analyst that 9/11 itself, from which all else flows, was a classic Mossad-orchestrated operation. But Mossad did not do it alone. They needed local help within America (and perhaps elsewhere) and they had it, principally from some alumni of PNAC (the misnamed Project for a New American Century) and their affiliates within and outside of the US Government (USG), who in the 9/11 attacks got the “catalytic event” they needed and craved to take the US to war on Israel’s behalf, only eight months after coming into office.
While it’s clear to me, and I think anyone who really looks at the evidence, 9/11 was in fact a classic “Mossad-orchestrated operation” (to use Sabrosky’s words), the role of the Jewish owned mainstream media was a crucial factor in pushing the American public to accept the official mythology of 9/11. We were told instantly exactly what the perpetrators had (rather poorly in hindsight) scripted: bin Laden and his cohort of Arab terrorists crashed hijacked airliners into the World Trade Center buildings in New York and the Pentagon, while a 4th hijacked airliner was heroically overtaken by the passengers on board and later crashed into a field in Pennsylvania. Dr. Sabrosky expands on this concept explaining how the official story became imbedded in the consciousness of Americans through repeat of the Big Lie. He writes:
As the war in Afghanistan for very dubious reasons extended into a war in Iraq for even more specious ones, the essential USG view of 9/11 became embedded in the public ethos. The 9/11 Commission Report, despite being handicapped when it was prepared and later revealed to have been deeply flawed, still appeared as the basic reference work on the attacks. Details may have been compromised, but the prevailing view was that 19 Arab hijackers had flown four planes into three buildings and one crash site, and that was the end of it. This was the position taken by the Bush Administration in 2001, and reaffirmed a decade later by the Obama Administration. Politicians of every stripe, most pundits and rafts of Protestant pastors (mainly evangelical) added their endorsements.
Sabrosky goes on to explore the obstacles that have arisen as a result of the rise of those of us interested in exploring what really happened on 9/11:
Potentially far more significant than individual musings was the gradual appearance of dissent that eventually crystallized in the so-called “9/11 Truth” movement, which rapidly proliferated into scores of major and many minor organizations and websites dissecting the attacks, the Commission report, the motivations and agendas of assorted elected and appointed officials, and alternatives to the orthodox view. But “9/11 Truthers” have been doing their version of the Maoist “Hundred Flowers” Campaign, throwing out so many different assessments of so many different aspects of so many different issues that the core message has been lost. Nor is it a matter of too little evidence invalidating the USG position on 9/11 being available, but too much to permit a clear focus on what happened (so many trees no one can really see the forest). […]
The real difficulty with much, but not all, of the effort to critique and question the official US position on 9/11 is that the “9/11 Truth” proponents have been unable to communicate their concerns – much less any conclusions – to the general public in any significant way. So much of the discussion is only partially comprehensible to some within the movement, largely unknown to the general US public, and so complicated in all its dimensions to those who do become aware of it that they fail to follow up on the arguments. […]
I would generally agree with this assessment. The 9/11 Truth movement has focused on debunking the official government conspiracy theory, pointing out all the inconsistencies, falsehoods, distortions and outright fabrications presented by the U.S. government and amplified by the Zionist owned media. The problem is- there are so many inconsistencies and so much research being done surrounding the FALSE FLAG/INSIDE JOB on 9/11, that there is not a clear central message that people can identify and accept as a legitimate explanation of what happened that day and why. There are those that are trying very hard to explain these things in as simple terms as possible, and to identify the culprits behind the attacks, but the overall central message of the movement is quite scattered.
So Sabrosky is correct, in my view, when he says that “much of the discussion is only partially comprehensible to some within the movement, largely unknown to the general US public, and so complicated in all its dimensions to those who do become aware of it that they fail to follow up on the arguments.” This is, of course, quite a poor reflection on our society, and the status of independent thinking in this country in general, that we cannot have civilized, intelligent discussions about the most monumental, game-changing event in recent memory (Fukushima may surpass 9/11 in the very near future).
Dr. Sabrosky argues that those of us working to bring to justice those responsible for the 9/11 FALSE FLAG/INSIDE JOB need to focus on World Trade Center building 7, a 47-story skyscraper that collapsed at free fall speed into its own footprint. Building 7 is the smoking gun when it comes to 9/11. Dr. Sabrosky writes:
What is not open to debate, however, is that WTC-7 — the third tower to collapse that day, and the only one not hit by a plane — absolutely was brought down by a controlled demolition, as anyone not trying to shield the attackers knows from a real-time video of its collapse. That is, WTC-7 went straight down into its own footprint in seconds without any visible catastrophic external trauma, which means only some catastrophic internal trauma could have brought it down. And if it had been wired for a controlled demolition, then so were the other towers (WTC-1 and WTC-2) that collapsed. That gives the plane impacts a gruesome cosmetic role, designed explicitly to conceal the true cause of the collapse of the buildings, while shocking the public into something akin to numbness.
The case of WTC-7 has long been known to critics of the US government position on 9/11. What does not seem to have been fully appreciated, at least at first (this is changing somewhat now), is that it is not merely “an” issue, but the single issue that can be used simply, directly to the American public, and effectively to discredit the US Government’s case, and thus its rationale for so many fallacies and misdeeds: not only needless foreign wars (Afghanistan being a “pump-priming” conflict to get the US into war in the region, and to lay the groundwork for later wars), but a substantial infringement of American civil liberties under the misbegotten “Patriot Act,” the unbelievably widespread acceptance of torture (including a technique openly named “Palestinian Hanging,” which assuredly did not originate in Boston and says something about Israeli habits), and the creation of known and secret prisons and detention centers in various countries.
Of course, there is a whole laundry list of evidence one could point to to debunk and refute the official government conspiracy theory of what happened on 9/11, but focusing on Building 7 should be the main starting point for those of us interested in spreading the truth and exposing those behind this fraudulent event.
The following analysis proffered by Dr. Sabrosky is of extreme importance:
The provenance of the 9/11 attacks becomes even clearer once they are examined as a classic exercise in covert operations. Generally speaking, there are three requirements for evaluating the origin and prospects for success of all covert intelligence operations: (a) motivation, (b) expertise, and (c) local support for access to the target and post-attack evasion and escape.
Let us look first at motivation. It is a bitter commentary on how far the US has gone from its strategic requirements and its own principles that so many movements and governments around the world not only dislike and distrust the US, but hate it with a passion and with better cause than I care to think about. I recently came across a remark by a Jesuit priest to the effect that “Every time I hear that Israel is America’s only friend in the Middle East, I remember that before Israel, America had no enemies in the Middle East” – a point well worth remembering.
But the interesting thing about the assorted movements and governments that might have an actual or perceived reason to do harm to the US, is that all but one has had a negative incentive to do that: to punish the US for some actual or assumed failings or misdeeds. The one exception is Israel. It has no negative incentives at all (I exclude some real fringe fanatics), simply because without US aid and diplomatic support, it would find itself in even worse straits than did apartheid-era South Africa, and with better cause. But it is the one state with a positive incentive, if it believed it could get away with it, which is to enrage the American public against Muslims generally and Arabs in particular, and to make the US an active belligerent in the region – spending American lives and treasure in the service of Israel’s interests.
Expertise is different and more diffuse. There are many intelligence and special operations forces in the world with the expertise to wire large urban structures for a controlled demolition. There are many combat engineer units in many countries that could do the same thing. And there are many private firms that specialize in them as well. Yet neither Al-Qaeda as an organization, nor any of its known affiliates – much less the 19 named Arabs supposedly on those four planes – possessed that expertise, or anything even remotely close to it; had they done so, the Green Zone in Baghdad would have been a pile of rubble.
But it is local support that is the crucial determinant. All well-crafted covert operations require some measure of local support, official or unofficial, unless the target area is so irredeemably hostile that none is available. Any domestic or foreign intelligence agency targeting the WTC would absolutely have required it, and Mossad would be better placed than any other to access such support for entry, access, execution and escape.
This is especially true, given the security company overseeing the WTC. CIA and/or Defense Department personnel (which is not the same as the CIA or the Defense Department as organizations) could have had access, but only if that had Israeli endorsement – one does not casually cut open walls, implant explosives, run cables and wire everything together in buildings with state-of-the-art electronic surveillance and 24/7 on-site security. Mossad would have no such need for those niceties, given the ownership of the WTC and the management of the company overseeing its security. Remember that we are not talking about large numbers of people in any case: given time to prepare the three buildings and protection from detection, as few as a dozen could have sufficed, a number small enough to be effectively unnoticed in a large organization.
This is a rock solid analysis of the situation surrounding the FALSE FLAG/INSIDE JOB on 9/11 from a former Marine Corps officer who knows specifically about this kind of stuff. If anyone reading this can dispute or rationally critique what was just laid out above, please enlighten me and the other readers in the comments section here.
I’d like to wrap up this analysis of Dr. Sabrosky’s article by excerpting the five key points recapped in the conclusion of the article:
So let us recapitulate the basic conclusions of this analysis. First, the core official US Government position on 9/11 is that any and all aspects of it are directly attributable to 19 named Arabs on 4 planes, conducting a terrorist operation planned and executed by Osama bin Laden’s Al-Qaeda. This position is at best incomplete, and at worst a complete fabrication engineered by those directly or indirectly responsible for what happened on 9/11, and the wars afterward.
Second, Al-Qaeda and many different countries and groups had negative reasons, real or contrived, to want to harm the US. But only Israel and its neoconservative wing in the US had a positive incentive to do so, which was to enrage Americans and make the US an active belligerent against Muslim countries, thereby cementing its bonding to Israel and Israel’s interests.

Third, there is no doubt that fully-loaded civilian airliners, especially with nearly-full fuel loads, impacting the Twin Towers (WTC-1 and WTC-2) would do great damage to those buildings, although even under extraordinary circumstances could not precipitate a chain of events leading to their collapse. And there is absolutely no way that those airliners impacting 800-1000 feet above the ground could have produced visible and audible secondary explosions in those buildings at ground level, nor precipitated the collapse of a third building (WTC-7)which was not hit by any aircraft and had no massive external trauma from debris produced by the Twin Towers. [...]
Fourth, Al-Qaeda – and perhaps other groups as well – had the theoretical capability to carry out a simultaneous four-plane hijacking, perhaps flying the aircraft to Cuba (the four 9/11 aircraft should have been able to make a one-way flight there at the beginning of their operational day without difficulty, depending on their actual loads), which would have been spectacular in itself. But neither Al-Qaeda nor any of their affiliates had the expertise and local support necessary to allow them the needed access to any of the buildings at the World Trade Center, to cut open the walls and wire them for controlled demolition, and then to escape and evade afterward.
Fifth and finally, in addition to being unique in having a positive incentive to make the 9/11 attacks, only Israel had the essential expertise and local support required to bring down the three World Trade Center buildings with controlled demolitions, and the leverage within and around the US Government to let their operatives evade detection, to be released without fanfare if apprehended unexpectedly, and to cloak their actions from public scrutiny – all of which happened on and after 9/11.
All wars are based on lies and deceptions. They are instigated and manufactured through the evil machinations of those who benefit and profit off of those waging the wars. Whether we’re talking about Pearl Harbor and the official mythology of that event, or more recently 9/11, it’s become quite evidence to those of us out here paying attention that Zionist bankers and the governments that facilitate their criminality and pillaging manufacture war for profit and their geopolitical interest. And, in my opinion, 9/11 is the ultimate manifestation of this, and in all likelihood the “catastrophic and catalyzing” event needed to facilitate the final implementation of the master plan for an international fascist dictatorship. And I say that sincerely, knowing how radical an idea that may be for some of you out there reading this. But, it needs to be said, and I’m not afraid to say it anymore.
So I’m going to keep on saying it until we finally arrest and charge with treason those responsible for carrying out this tremendous psyop on the people of the world. Israel was behind 9/11 folks. They were facilitated by criminal, traitorous elements in the U.S. government, including the military and intelligence agencies, private sector and media. We have all the proof in the world to document these facts. Take a look, it is no longer in dispute who was behind 9/11. I wake up everyday thinking of what I can do to expose these criminals, and bring them to justice. Maybe I’m weird, maybe I’m an “extremist,” but after all we’ve been through as a result of the false reality set in motion due to 9/11, there’s no going back. Who’s with me?




29 janvier 2011
11 septembre 2001 - Le Mossad juif israélien dirigeait les « pirates de l’air » de l’opération terroriste
Wayne Madsen
11 septembre 2001 - Le Mossad juif israélien dirigeait les « pirates de l’air » de l’opération terroristeEn février 2002, le Renseignement britannique signala que le Mossad israélien dirigeait les cellules de pirates de l'air arabes qui furent ensuite accusées par la Commission sur le 11/9 de l’exécution des attentats aériens du World Trade Center et du Pentagone. Nous avons reçu les détails de ce rapport du Renseignement britanniques, qui avait été étouffé par le régime de l'ancien premier ministre britannique Tony Blair.
Dans les mois précédant le 11/9, une unité du Mossad composée de six Juifs natifs d’Égypte et du Yémen a infiltré les cellules d’Al-Qaïda de Hambourg (la cellule Atta-Mamoun Darkanzali), de Floride du Sud, et de Sharjah dans les Émirats arabes unis. Non seulement le Mossad a infiltré les cellules, mais il a commencé à les organiser et à leur donner les ordres spécifiques qui aboutirait finalement le 11/9 à leur présence à bord des quatre vols réguliers en provenance de Boston, Washington Dulles, et Newark dans le New Jersey.
Formée de six Israéliens, l'équipe d'infiltration du Mossad comptait deux cellules de trois agents. Pour leur futur contrôle et manipulation de cellule Al-Qaïda, tous avaient reçu une formation spéciale dans une de leurs bases du désert du Néguev. Une cellule du Mossad s'est rendue à Amsterdam où elle s’est mise sous le contrôle opérationnel du poste du Mossad Europe, opérant à partir du complexe d'El Al à l'aéroport international de Schiphol. Se rendant ensuite à Hambourg, cette unité de trois hommes du Mossad a pris contact avec Mohammed Atta, qui a cru qu'elle était envoyée par Oussama Ben Laden. Elle était envoyée en réalité par le chef du Mossad, Ephraim Halevy.
La deuxième équipe de trois hommes du Mossad a pris l'avion pour New York et puis pour le sud de la Floride, où elle a commencé à organiser les cellules Al-Qaïda opérant depuis Hollywood, Miami, Vero Beach, Delray Beach, et West Palm Beach. Les « étudiants en art » israéliens, qui faisaient déjà l’objet d'une enquête de la Drug Enforcement Administration pour espionnage (casing) des bureaux et domiciles des agents fédéraux, vivaient parmi elles et exerçaient une surveillance sur leurs activités, notamment sur la formation à l’école de pilotage de la future cellule de « pirates » arabes, en particulier à Hollywood et Vero Beach.
En août 2001, la première équipe du Mossad s’est envolée pour Boston avec Atta et les autres membres d’Al-Qaïda de Hambourg. La sécurité de l'aéroport international de Logan était confiée à Huntleigh USA, une filiale de la compagnie israélienne de sécurité aéroportuaire étroitement liée au Mossad, International Consultants on Targeted Security – ICTS. Les propriétaires d’ICTS étaient liés politiquement au Parti du Likoud, en particulier à la faction de Netanyahu, alors maire de Jérusalem, et du futur premier ministre Ehud Olmert. C’est Olmert qui intercéda personnellement auprès du maire de New York Rudolph Giuliani pour libérer de prison les cinq employés de l’entreprise de déménagement Urban Moving Systems, identifiés par les agents de la CIA et du FBI comme des pions du Mossad. Considérés comme ayant été impliqués dans les attentats du 11/9, ces Israéliens furent les seuls suspects arrêtés dans tous les États-Unis.
Par l’intermédiaire de l'ambassade d'Israël à Washington, les deux équipes du Mossad envoyaient régulièrement à Tel-Aviv des rapports codés sur les progrès de l'opération 11/9. Nous avons appris d'une source du Pentagone que les principaux Zuniens impliqués dans l'activité médiatique visant à mettre le 11/9 sur le dos des pirates arabes d’Oussama Ben Laden et des Talibans, étaient présents à l'ambassade d'Israël le 10 septembre 2001. C’est là qu’ils coordonnaient leurs offensive médiatique pour les jours et semaines qui suivraient les attentats. Il est plus que probable que les agents de contre-espionnage du FBI qui s’acquittent de la surveillance de l'ambassade d'Israël ont la preuve de leur présence là-bas le 10 septembre. Certains de ces Zuniens sont bien connus du public des informations du réseau télévisé national.
À la mi-août, l'équipe du Mossad dirigeant la cellule de Hambourg à Boston a informé Tel-Aviv que les plans du 11/09 étaient finalisés. La cellule du Mossad basée en Floride a indiqué que la preuve de la « présence » des membres de la cellule arabe dans les écoles de vol de Floride était établie.

Les deux cellules du Mossad évitaient soigneusement toute mention du World Trade Center ou des cibles à Washington dans leurs messages codés pour Tel-Aviv. Ephraim Halevy a dissimulé ses traces en signalant à la CIA une « menace générale » d’attaque de terroristes arabes contre une centrale nucléaire quelque part sur la côte Est des États-Unis. Le directeur de la CIA George Tenet a rejeté comme « pas assez précis » l'avertissement de Halevy. Sous le directeur Louis Freeh, proche du départ, le FBI a enregistré l'alerte « imprécise » concernant l’attaque contre une centrale nucléaire et a expédié cette information dans ses bulletins habituels aux agents de terrain, mais aucun haut niveau d’alerte n’a été décrété.
Aucune trace papier ne montrant qu’Al-Qaïda est le cerveau du 11/9, qui pourrait donc être lié aux instructeurs du Mossad d'Al-Qaïda, a troublé le FBI. Le 19 avril 2002, dans un discours au Club Commonwealth de San Francisco, le directeur du FBI Robert Mueller a déclaré : « Dans notre enquête, nous n'avons pas découvert un seul bout de papier — soit ici aux États-Unis, soit dans la mine d'information découverte en Afghanistan et ailleurs — mentionnant quelque aspect du complot du 11 septembre. » Les deux équipes du Mossad, d’infiltration et de contrôle d’Al-Qaïda, ont aussi aidé à établir des lieux sûrs pour l'exfiltration rapide des États-Unis des agents du Mossad. En mars dernier, nous avions signalé : « Wayne Madsen Report a appris de deux sources d'El Al qui travaillaient pour cette compagnie aérienne israélienne à l'aéroport JFK de New York, que le 11/9, quelques heures après que la Federal Aviation Administration (FAA) ait fait clouer au sol tous les vols civils nationaux et internationaux entrants et sortants des États-Unis , qu’un Boeing 747 d’El Al bondé a décollé de JFK à destination de l’aéroport international Ben Gurion de Tel-Aviv. Nos deux sources d’El Al ne sont pas des ressortissants israéliens, mais les immigrés légaux équatoriens qui travaillaient aux États-Unis pour la compagnie aérienne. Le vol a décollé de JFK à 16 heures 11 et son départ a été, selon les sources d’El Al, autorisé grâce à l'intervention directe du ministère de la Défense des États-Unis e . Sur les lieux, à l'aéroport JFK, avec les autorités aéroportuaires et du contrôle du trafic aérien, des responsables militaires ont été personnellement impliqués dans le déblayage de la voie pour faire décoller le vol. Selon le rapport de la Commission sur le 11/9, le ministre aux Transports Norman Mineta a ordonné à tous les vols civils d’atterrir à 9 heures 45 le 11 septembre. » Nous avons appris de sources du Renseignement britanniques que les six hommes de l’équipe du Mossad ont été enregistrés sur le manifeste de vol à titre d'employés d'El Al.À la suite des attentats du 11/9, Dominik Suter a eu l’autorisation de s’échapper des États-Unis après qu’il ait eu un contact initial avec le FBI à l'entrepôt d’Urban Moving Systems à Weehawken dans le New Jersey. Selon une source informée qui nous a contactés, Suter a plus tard été autorisé à revenir des États-Unis où il a participé à des activités de fourniture de pièces d'avion dans le sud de la Floride. Suter a ensuite déposé en Floride le bilan d’Urban Moving Systems et d'autres entreprises qu’il exploitait : Suburban Moving & Storage Inc ; Max Movers, Inc ; Invsupport ; Woodflooring Warehouse Corp ; One Stop nettoyage LLC, et City Carpet Upholstery, Inc. Au moment du dépôt de bilan en Floride, Suter a inscrit son adresse : 1867 Fox Cour, Wellington, FL 33414, avec son numéro de téléphone : 561 204-2359.
Nous avions signalé antérieurement que la cellule du Mossad opérant à travers Urban Moving Systems dans la région de Jersey City-Weehawken dans le New Jersey, était soupçonnée par certains au FBI et à la CIA d'être impliquée dans l’installation (moving) d'explosifs au World Trade Center, ainsi que dans la mise en scène de manifestations « sous fausse bannière » en au moins deux endroits du nord de Jersey : au parc d’État Liberty et dans un complexe d'appartements à Jersey City au moment où le premier avion a heurté la tour nord du World Trade Center. Une équipe d’agents du Mossad d'Urban Moving Systems a été arrêtée plus tard le 11 septembre et emprisonnée pendant cinq mois au Centre de détention métropolitain de Brooklyn. Certains de leurs noms figuraient en tant qu’agents du Mossad connus dans une base de donnée commune de la CIA et du FBI, avec le propriétaire d’Urban Moving Systems, Dominik Suter, dont le nom figurait aussi sur une liste confidentielle du FBI concernant des suspects du 11/9, ainsi que le nom des principaux « pirates, » dont Mohammed Atta et Hani Hanjour, ainsi que le soi-disant « 20ème pirate de l'air 20, » Zacarias Moussaoui.

D’après la liste de créanciers, il peut être établi que Suter opérait aux États-Unis depuis 1993, année du premier attentat contre le World Trade Center. En 1993, Suter a commencé à accumuler des frais de carte de crédit American Express totalisant 21.913,97 dollars. Suter a aussi entretenu des comptes de carte de crédit dans, entre autres banques, HSBC et Orchard c/o HSBC Card Services de Salinas en Californie. Suter a également été en affaire avec le Centre communautaire juif de Grand Palm Beach en Floride et de Ryder Trucks à Miami. Miami et le sud de la Floride étaient des régions d'exploitation majeures pour les cellules d'agents du Mossad israélien se faisant passer pour des « étudiants en art, » qui vivaient et travaillaient à proximité de quelques-uns des futurs « pirates » arabes identifiés dans les mois précédant le 11/9.Après la débâcle de l'Union soviétique et la montée en puissance des Talibans en Afghanistan, le régent de Sharjah, le Sultan Ben Mohammed al-Qasimi, qui a survécu à une tentative de révolution de palais en 1987, a ouvert son domaine à des hommes d'affaires russes comme Viktor Bout, ainsi qu’à des bailleurs de fonds de groupes musulmans radicaux, incluant les Talibans et Al-Qaïda.

De plus, ce soutien israélien à Al-Qaïda était parfaitement connu du Renseignement saoudien, qui l'approuvait pour éviter de compromettre Riyad. Le soutien commun israélo-saoudien à Al-Qaïda était bien connu à Sharjah et dans le réseau aéronautique basé à Ras el Khaimah de Viktor Bout, désormais emprisonné à New York sur charges de terrorisme. La présence de Viktor Bout à New York, un foyer du Renseignement israélien contrôlant des procureurs fédéraux, des juges, ainsi que des organes de presse, n'est pas un hasard : Bout en sait suffisamment sur les activités à Sharjah de soutien du Mossad aux Talibans et à Al-Qaïda en Afghanistan, où Bout avait également des contrats d’aviation et de logistique, pour éventer le Mossad en tant que véritable cerveau derrière le 11/9. L'empire aéronautique de Bout se prolongeait aussi à Miami et Dallas, deux régions reliant plusieurs points du réseau du Mossad pour les opérations de contrôle des vols d'entraînement des membres d’Al-Qaïda de la cellule arabe dans le mois précédant le 11/9.
Le chemin de Bout a aussi croisé le réseau de soutien d’Al-Qaïda à cette même banque HSBC de Sharjah. Les Frères musulmans bidons, membres du Mossad d'Égypte et du Yémen, contrôlaient le financement d’Al-Qaïda à travers les comptes de HSBC à Sharjah. Dominik Suter du Mossad a également été impliqué avec HSBC aux États-Unis . Enquêtant sur Al-Qaïda, John O'Neill, patron du contre-terrorisme au FBI, a pris conscience des mécanismes de financement « exceptionnels » de cette organisation. Ce n’est pas par erreur si, la veille des attentats, O'Neill a obtenu le poste de directeur de la sécurité au World Trade Center. O'Neill a péri dans l'écroulement des tours. Le Mossad utilise un certain nombre de Juifs nés en pays arabes pour se faire passer pour des Arabes. Ils sont souvent porteurs de passeports volés dans des pays arabes ou européens avec de grandes populations d’immigrés arabes, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Danemark, Suède et Pays-Bas, en particulier.
Le succès de l’opération sous fausse bannière du 11/9 fut pour le Mossad un succès dépassant toute attente. Soutenue par le régime Blair, l'administration Bush a attaqué et occupé l'Irak, destitué Saddam Hussein, et la pression sur Israël a été détournée sur d’autres, notamment sur l'Iran, la Syrie, le Pakistan, le Hamas et le Hezbollah libanais. Les Israéliens ont également vu les États-Unis , la Grande-Bretagne, et les Nations Unies commencer à sévir contre les entreprises diamantaires chiites libanaises en République démocratique du Congo et Afrique de l'Ouest, et par voie de conséquence, avec le soutien logistique fourni par les compagnies aéronautiques de Bout, cela a ouvert la voie à l’apparition de Tel-Aviv dans le marché du diamant libanais en Afrique centrale et occidentale.
Ministre israélien des Finances à l’époque, Benjamin Netanyahu a commenté les attentats du 11/9 à la télévision zunienne peu de temps après qu’ils se soient produits. Il s’est exclamé : « C’est très bon ! » Il apparaît maintenant que, dans sa fougue, en tant que cerveau du 11/9, Netanyahu a soulevé le voile du Mossad.

Wayne Madsen est un ancien officier de renseignement de la marine de guerre zunienne spécialisé dans la surveillance électronique et la sécurité. Anciennement assigné à l’Agence de sécurité nationale (NSA) et au ministère des Affaires étrangères. Actuellement, journaliste d’investigation, chroniqueur dans la presse nationale, et auteur. Administrateur de l’Electronic Privacy Information Center (EPIC), (une organisation dédiée à la protection des libertés individuelles) à Washington DC.

Original :
www.opinion-maker.org/2011/01/british-intelligence-reports/

Traduction copyleft de Pétrus Lombard


Sommaire exécutif de The High Priests of War, par Michael Collins Piper:

LES GRANDS PRETRES DE GUERRE

L'Histoire secrète de l'arrivée au pouvoir des trotskistes "néo-conservateurs" sionistes américains et de leur orchestration de la guerre contre l'Irak comme premier pas vers la réalisation de leur Empire Global.

Le rapport qui suit est basé sur les constats suivants:
  • Que la guerre contre l'Irak menée par l'administration américaine du président George W. Bush est non seulement contraire aux principes «conservateurs» américains traditionnels, mais contraires aussi à tous les principes de la politique étrangère américaine des cinquante dernières années;
  • Que la guerre contre l'Irak est menée à des fins beaucoup plus larges qu'un simple «changement de régime» ou une "élimination des armes de destruction massive"; mais d'abord et avant tout dans le cadre d'un effort global pour faire des États-Unis l'unique super-puissance internationale, capable militairement et économiquement de supprimer toute nation et/ou peuple qui oserait défier l'hégémonie américaine;
  • Que la guerre contre l'Irak n'est tout simplement qu'une première étape d'un plan de longue durée et de grande envergure visant à déployer des frappes encore plus agressives contre l'ensemble du Moyen-Orient arabe, afin de "refaire le monde arabe" pour assurer la survie - et étendre le pouvoir - de L'ÉTAT D'ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak n'est que l'objectif initial de ce programme soigneusement planifié et que, finalement, d'autres États arabes et musulmans sont voués à l'extinction pure et simple ou à une certaine forme d'occupation ou de contrôle par les forces militaires et politiques américaines (EN ALLIANCE AVEC ISRAËL);
  • Que la guerre contre l'Irak et le plan pour l'asservissement des peuples arabes n'est tout simplement qu'une modification, une adaptation modernisée du rêve historique sioniste du «Grand Israël», ajusté pour répondre aux exigences des compagnies pétrolières internationales, qui sont, à leur tour, entièrement prêtes à prendre part au projet de domination les pays producteurs de pétrole du monde arabe, EN PARTENARIAT AVEC L'ÉTAT D'ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak a été délibérément orchestrée par un réseau petit mais puissant d'éléments sionistes de la ligne dure "de droite" - les soi-disant «néo-conservateurs» - nichés aux plus hauts niveaux de l'administration Bush, habilement aidés et encouragés par des gens suivant la même ligne de pensée dans des organisations politiques publiques, des cercles de réflexion (think tanks), des publications et d'autres institutions, qui sont tous étroitement inter-reliés et, à leur tour reliés à des FORCES DE LA LIGNE DURE LIKOUDNIK EN ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak et les interventions supplémentaires des États-Unis contre le monde arabe qui sont prévues pour l'avenir peuvent être attribuées à une manigance politique sioniste dans les hauts niveaux du renseignement américain, remontant aussi loin que les années 1970, et que plusieurs des mêmes acteurs impliqués dans cette activité guident aujourd'hui la politique de l'administration Bush;
  • Que la guerre contre l'Irak est un complément à la «guerre contre le terrorisme» déclarée au préalable qui, en soi, faisait partie d'une longue campagne de propagande, en constante évolution, soigneusement coordonnée, et fondée sur la théorie que le terrorisme est en quelque sorte un trait "arabe"...
---Michael Collins Piper

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