18 mars 2011

La province Française du Royaume de Juda.

Il ne faut pas avoir peur des mots, nous ne sommes plus en France l'ex nation indépendante et libre, mère de la liberté d'expression et foyer des lumières.  Nous sommes entrés dans la nouvelle ère, de la soumission à un pouvoir, qui jusque là se cachait et qui désormais agit en plein jour. Nous sommes devenus une province du royaume de Juda, et nos maitres nous dominent de  toutes part, et dans tous les domaines. 
Faire ce constat douloureux est une urgence, et faire le deuil de notre France bien aimée permettrait l'émergence d'une nouvelle France régénérée. Car la France fille ainée de l'église a été vaincue par Juda et sa fille ainée la Franc maçonnerie. Vaincue rabaissée souillée et trompée par cet amant maléfique qui sous sa prose ennivrante l'a entrainée vers une destinée de traînée. La France n'est plus que l'ombre d'elle même, la prostituée qui rapporte en faisant le trottoir pour son amant cruel. Nous payons directement nos impôts à ce Juda, cette dette publique qui file dans les poches des Rotchild et consorts est la démonstration de cette prostitution.
Pire encore il l'a poussée a rejoindre le lupanar Européen qui n'est qu'un bordel de plus dans lequel il vend ses charmes et ses formes, pour servir son ambition planétaire.
Le règne du vulgaire est devenu notre pain quotidien, et les pires ont pris les meilleures places.
Sélectionnés par les milliers de Bernays des médias, le vicieux et le pédéraste est nommé ministre de la vertu, et les saints désignés comme des pervers coupables des pires crimes. 
Non la France n'est plus, par le matérialisme contre lequel le Noble Jésus a lutté, qu'une marchandise comme les autres. Son maitre la vend, la loue, la prête au gré de ses humeurs, et si elle se rebiffe lui fait sentir sa douleur. Il la cajole aussi, pour qu'elle continue de faire semblant, d'être présentable, de bien se tenir à table. Il lui offre des Ipod, Ipad, tout un tas de babioles, et beaucoup d'alcool, comme il l'avait fait pour les peuples primitifs auquel il offrait des miroirs, verroteries, bijoux de pacotilles, et qu'il a initié aux alcools forts, les plongeant ainsi dans un triste sort. Elle rit et montre sa joie, demeurée qu'elle est devenue, elle boit jusqu'à plus soif, jusqu'à la lie, pour oublier sa misérable vie. Sa nouvelle devise est : On est les Champions,  de la soumission, on est, on est, on est les champions...
Pour ouvrir le bal, Juda a organisé une tournante dans une cave de l'Élysée, et les uns après les autres, tous les sionistes du monde viennent prendre leur part. Une levrette leur donne la Légion d'Honneur, et la Médaille du Mérite National, est offerte à tous ceux  qui bien profond lui la mettent. 
Pendant ce temps, le peuple, se traine de bar en bar, au comble de son désespoir. Avachit, flétrit et meurtrit par la propagande Israélite il n'est plus en mesure de penser, boire, seul suffit à le combler. Et dans un état second il se recueille durant la messe du 20 heure absorbant comme des paroles divines, le poison qu'on lui sert.
Il n'est plus, lui non plus, que l'ombre des guerriers Gaulois, fiers et droits. Il n'est plus qu'une épave, qui vogue de rade en rade, à la recherche infortune de ses camarades.
Pourtant, loin de cette débauche, de cette prostration et de ces perditions, des hommes et des femmes luttent, pour redonner à leur mère sa vertu d'antan. Et même si leurs voix sont inaudibles, couvertes par le vacarme des menteurs réunis, qui monopolisent le débat, et imposent les futurs combats, ils n'en continuent pas moins de se débattre, de lutter contre ce cauchemar qui semble avoir englouti tous les espoirs.
C'est pourquoi, toute leur armada de propagandistes s'est mise en branle, contre celui qui pourrait la sauver et la sortir de cette fange. Lui tendre la main, l'aider à se relever et à retrouver son noble destin. Cet ami contre lequel se sont ligués Juda et sa fille incestueuse, la Franc Maçonnerie, c'est l'Islam, et les valeurs qu'il porte en lui. Ils traitent son intégrité, d'intégrisme, sa résistance de terrorisme, et vont jusqu'à commettre le pire afin de lui faire porter.  Tentent d'assimiler des pseudo musulmans tombés dans les mêmes pièges que nous l'argent, le paraitre, avec l'Islam véritable, espérant nous tromper sur ce qu'il est vraiment. Le salissant jour après jour, heure après heure, sur toutes les chaînes, les journaux, et toutes les ondes, jusqu'à faire de ceux qui étaient censés sortir leur pays de ce marasme, les combattants inconscients pour la gloire d'Israël.
Un mythe bien ancré, a fait chavirer les esprits, et leur bourreau  ultime est nommé victime suprême. Prononcer de travers le nom de ses ennemis est devenu punissable de prison, la boucle est bouclée, et la France est enchaînée, par des liens invisibles mais dont les stigmates, sont bien sensibles.
Les combattants de l'ombre ont encore un espoir, car l'avantage des mythes c'est qu'ils peuvent être refusés, niés, et ainsi devenir des vecteurs de liberté. Car ils ne sont fait que d'illusions, de mensonges et de contres vérités. Et qu'il suffit simplement ne plus y croire pour en être libéré. C'est aussi simple que cela. Mais il faut aller au delà, et en parler autour de soi, montrer celui qui domine, celui qui réprime, au nom de sa religion, la Shoah.
Réviser notre histoire est en partie déjà accompli, par de courageux guerriers, qui ont tout donné, pour nous transmettre la vérité. Nous n'avons qu'un petit effort à faire, trouver leurs écrits, et les lire. Comprendre enfin la nature du piège, la nature du siège, la nature de celui qui sous un habile habit, nous trompe et nous pervertit.
Le montrer du doigt, suffira, à lui faire savoir que nous ne sommes plus ses bêtes de somme que nous n'allons plus rester civilisés, que nous allons devenir sauvages le temps de retrouver le courage, de le terrasser et de le réduire, comme il nous a réduit.
Il nous menace de ses bombes nucléaires,  menaçons le  de vitrifier sa capitale, il nous menace de ses crises, récupérons tout ce qu'il a volé depuis les temps reculés, et c'est lui qui va être en crise et qui viendra comme toujours se lamenter.
Croyons en notre destinée, et au lieu d'aller nous battre pour sa gloire finale, combattons le de toutes nos forces, où qu'il soit, et quel que soit le masque sous lequel il se dissimule. Commençons par l'appeler par son nom, et ne pas l'aider en le décrivant par les noms d'emprunts qui servent se buts guerriers. Car il n'est Américain, Russe, ou Européen, que pour mieux nous tromper, et pour tromper les peuples d'Orient contre lesquels il espère nous entrainer, dans la dernière des guerres dont il serait, sans avoir livré le fer, vainqueur et maître de nos destinées.

Il nous menace de sa loi, opposons lui notre bon droit, celui d'être des êtres libres, et non des animaux dociles qui réagissent à des réflexes Pavloviens, qui obéissent comme des chiens.
Après tout une loi injuste n'est pas faite pour être respectée, et rien ne peut nous y obliger.  Quand nous aurons compris que le Judaïsme qui est le racisme suprême, est incompatible avec l'antiracisme, nous pourrons les voir d'un nouvel œil et ne plus tomber dans ses pièges, refuser d'être divisés,  par lui en ethnies, en pays, en races et couleurs. Et là, et seulement là, quand cette Union sera acquise, il ne pourra plus utiliser les mécanismes de l'immigration, de la colonisation, pour nous opposer les uns aux autres et avoir sur nous un tel pouvoir.
Et alors chacun pourra retrouver sa place, parmi ses frères, et comprendre que la terre n'est pas plus grosse qu'une pomme, et que celui qui la croque, dévore sous ses pieds, le monde qui le porte et lui permet de marcher. La terre ne nous appartient pas, il faut nous défaire de cette croyance trompeuse, Nous Lui Appartenons, elle est notre mère. Et seul Juda peut vendre sa mère comme il a vendu son frère pour trente deniers de malheur.

La prospérité est un piège, la richesse une vaniteuse illusion. Jésus nous l'a dit en des mots très clairs, le riche a moins de chance de passer par le chas d'une aiguille qu'un chameau. Alors que le simple, le pauvre, le humble s'y faufile comme un fil. Il a chassé les marchands du temple, a renversé leurs étals, dispersé leur monnaies, et voilà que ces même marchands du temple dictent nos lois, dirigent nos mœurs et inversent nos valeurs ? Jésus est il mort dans nos cœurs ? Son message est il oublié, nié et dénigré ?

La Fille ainée de l'Église,  une fois ressuscitée, doit livrer un combat à mort, glaive contre glaive, contre la fille ainée de Juda, la Franc Maçonnerie, et la vaincre enfin, pour que nous puissions voir le Juda qui se cachait derrière sa fille et que les enfants de la France puissent le combattre et le faire retourner en enfer d'où il a été extrait. Et ainsi libérer le véritable Israël qui a été assassiné par Juda le traitre, de tout temps criminel.

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