Quand trempette rime avec talonnette…
Il y a de cela quelques jours, un virtuose du karcher et expert mondial en salubrité publique, bien connu des Français, était convié à s’exprimer devant un parterre éminent d’hygiénistes distingués. Relevant fort à propos les mérites immenses que ces vénérables sages pouvaient de bon droit faire valoir auprès d’une humanité redevable de leurs bienfaits, l’orateur, soucieux de remonter aux sources mêmes de cette merveilleuse histoire, rappela fort judicieusement que ces « Piétons de la Mer Rouge », ‒ ainsi surnommés affectueusement par les plus grands peuples de l’Antiquité en hommage à leur parfaite maîtrise des liquidités, ‒ sans doute alertés par l’odeur, vinrent apporter l’usage des bains et le goût de la propreté aux nauséabondes peuplades gauloises.
Quant à nos braves compagnes, tout à la joie de retrouver pour de bon la légendaire source de jouvence, ne doutons pas qu’elles ne feront point les douillettes et auront à cœur d’observer scrupuleusement les rites du bain purificateur tels qu’ils se trouvent décrits ci-après par le rabbin Brafmann (Juif converti).
René-Louis BERCLAZ
Il y a encore la
Mikva, cérémonie de la purification de la femme.
La
Mikva est un grand bassin rond rempli d’eau, dans lequel les femmes juives doivent, pour leurs relevailles, ainsi que chaque mois, se laver pour purifier leur corps.
Dans les temps anciens, lorsque les Juifs réglaient leur vie selon les lois de Moïse et non selon celles du
Talmud, la femme juive, pour ses relevailles, apportait une offrande au grand prêtre et, le soir de la même journée, elle se purifiait par quelques ablutions, sans avoir besoin de se plonger dans l’eau vive d’un ruisseau. Mais depuis que les Juifs se sont laissé guider par les lois du
Talmud, les interprètes de ces lois ont entouré la cérémonie de la purification de la femme d’une quantité de minutieuses prescriptions (qu’on trouve détaillées dans le IVe livre de
Orah-Haim, du § 183 au § 203). Ces tracasseries, dont le but était la conservation de l’influence des rabbins sur la vie intime des Juifs, par un contrôle exercé sur les actes les plus secrets de la vie intime, ont eu un résultat paradoxalement contraire à celui que l’on se proposait, c’est-à-dire que la femme juive, en accomplissant la cérémonie de la purification, ne lave pas son corps et ne le rend pas plus propre qu’il ne l’était auparavant, mais elle le salit davantage, et voici de quelle manière :
La
Mikva est un bassin d’environ un mètre cube de contenance. Selon la loi du
Talmud, ce bassin devrait être rempli d’une eau vive, mais comme, surtout pendant l’hiver, il serait trop pénible de se plonger dans l’eau froide, on construit le bassin de manière à n’y faire arriver qu’une très minime partie de cette eau vive exigée par le règlement, et à l’aide d’un tube en fer-blanc placé à l’intérieur, on chauffe le bassin.
La
Mikva se trouve toujours sous terre dans une cave plus ou moins spacieuse, et la cérémonie s’accomplit dans une demi-obscurité; la cave n’étant éclairée que par une ou deux chandelles de suif. La femme juive qui arrive là pour ses ablutions commence par se déshabiller et par démêler ses cheveux. Elle livre ensuite ses mains et ses pieds à la
Neguel-Schneidecke, gardienne placée là exprès pour couper les ongles et, en outre, pour arracher les croûtes des plaies sur le corps de celles qui ont le malheur d’en avoir, cela afin qu’il ne se trouve sur le corps rien qui puisse empêcher l’eau de la
Mikva de le baigner entièrement, sans quoi la cérémonie serait considérée comme nulle. Après cette opération, la femme descend dans la
Mikva et, après avoir fait une courte prière, elle s’y plonge de manière que pas un de ses cheveux ne paraisse à la surface ; elle doit attendre dans cette position le moment où la
Tukerke (surveillante qui reste sur le bord du bassin), prononce le mot «
Kascher ! ». Un, deux, trois plongeons semblables, et la cérémonie est aux trois quarts accomplie, mais il en reste encore un quatrième, et celui-ci est sans doute le plus pénible de tous. La femme qui a plongé trois fois doit encore se rincer la bouche avec l’eau de la
Mikva, et ce n’est qu‘alors qu’elle peut remonter les escaliers et céder la place à une autre. Deux femmes ne peuvent ensemble accomplir la cérémonie. Il faut que chacune le fasse séparément.
Dans une seule soirée, une centaine de femmes plongent de cette manière dans la
Mikva et, d’après le règlement du
Kahal, inspiré par une sordide économie, l’eau du bassin n’est changée qu’une fois par mois, quelquefois même plus rarement. Ainsi, dans cette eau putréfiée et remplie de miasmes, des centaines de femmes doivent accomplir la cérémonie de la purification. Chacune d’elles est obligée de se rincer la bouche avec cette saleté. Il est facile de comprendre que, dans ces conditions, la
Mikva est un supplice pour la femme juive ; cette cérémonie est une cause de maladies de tous genres, qui se perpétuent ainsi parmi ce peuple voué à la saleté.
Qu’on se figure des centaines de femmes nues, échevelées, et souvent ensanglantées par suite d’un excès de zèle de la part de la
Negel-Schneidecke, rassemblées dans un souterrain où vacille la flamme de deux ou trois mauvaises chandelles de suif, se pressant autour d’un bassin en attendant leur tour d’y entrer (bassin d’où s’échappent des miasmes à donner des nausées), regardant avec effroi celle de leurs compagnes qui vient d’accomplir la lugubre cérémonie, et qui, après s’être rincé la bouche avec cette eau fétide, vomit en remontant les degrés, et cède avec empressement la place à une autre que le même sort attend.
Au milieu de toutes ces femmes, la
Tukerke, l’horrible mégère qui ne délivre ses patientes que quand il lui plaît de prononcer le mot «
Kascher ! » et qui, à son caprice, peut raccourcir ou prolonger le supplice. Ce tableau fantastique et horrible, semblable à une scène racontée par le divin Dante dans sa descente aux Enfers, serait digne de la plume d’un grand poète et du pinceau d’un illustre peintre.
En parlant de cette cérémonie sauvage, barbare et digne des temps païens, on est pris d’indignation et l’on se demande s’il est possible qu’une pareille cérémonie puisse être exigée à titre d’acte religieux. Est-il possible qu’une action aussi dégoûtante s’accomplisse au milieu de la civilisation de la seconde moitié du XIXe siècle ? Pauvres victimes du fanatisme entretenu et soutenu par les meneurs du judaïsme ! Pauvres femmes juives ! Il n’est pas étonnant qu’après les tortures qu’on vous fait subir au nom de la religion, votre jeunesse se fane si vite, et qu’à vingt-cinq ans à peine vous paraissiez en avoir cinquante ! Il n’est pas étonnant que vous ayez si peu de goût pour la propreté, puisque au nom de la religion on vous prescrit de vous avilir chaque mois dans une eau putréfiée.
Chaque femme juive qui, chaque mois, vient accomplir cette cérémonie révoltante, imposée par le fanatisme religieux, c’est-à-dire l’acte de la purification, est en plus obligée de payer une rétribution à un entrepreneur à qui le
Kahal vend, au profit de sa caisse, le droit de la percevoir et qui, outre le revenu que cette barbare cérémonie lui rapporte, exerce encore un contrôle indécent sur la vie la plus intime des ménages juifs.
Kalixt de Wolsky, La Russie juive, Albert Savine, Paris, 1887, pages 294-300

http://www.mum.org/scher4.htm
ce n est rien par raport a ce que j ai apris recemment sur le talmud incroyable mais vrai
RépondreSupprimerOui, ça fait un choc hein ? quand on a l'habitude d'entendre parler de "lumières du monde et de morale juive".
RépondreSupprimerAprès s'être fait massacrer plusieurs fois ils ont ajouté la clause silence à leur fantasmes et dérangement mental... Mais il n'est rien qui puisse rester caché infiniment, quoique internet soit en grande partie le vecteur de ce dévoilement.