12 mars 2011

Victimes suprêmes ou bourreaux suprêmes ? Partie 2

Cet article est issu du site d'Anne Kling, La France LICRAtisée, il s'agit en fait d'un commentaire très bien argumenté qui décrit assez bien ce mécanisme par lequel le bourreau tente de cacher ses crimes en les imputant aux autres.  Source.  Je le reprend en entier car il est peu connu et qu'il mérite de l’être.

Un correspondant du blog m’a adressé le commentaire suivant à l’article d’hier. Il offre un éclairage très intéressant et des possibilités de débat particulièrement fournies. Comme il serait dommage qu’il passe inaperçu, le voici en clair. Merci à son auteur.
« Plusieurs raisons poussent les lobbies juifs un peu partout (et surtout en Israël) à nier le génocide arménien. La raison la plus communément admise est le refus de la compétition victimaire; les juifs voulant être les seuls à se prévaloir du statut de victimes éternelles.
Ce n'est pas faux, mais ça ne suffit pas comme explication, d'autant que certains sionistes voient d'un bon oeil le fait que les turcs musulmans soient accusés de génocide, car tout ce qui peut alimenter les clichés du genre musulman=barbare arrange l'agenda sioniste. Du coup, tout en refusant la reconnaissance officielle et en bloquant les enquêtes historiques, les médias sionistes ouvrent les colonnes de leurs journaux à ceux qui dénoncent le génocide arménien par les turcs.  Pourquoi donc?
abee87e21fc48fa193600c48a7255fb3.jpgIl est un sujet très sensible en Turquie, c'est l'origine ethnique d'Atatürk.  Si vous regardez des photos d'Atatürk vous aurez bien de la peine à reconnaître un turc. Le teint et les yeux clairs, il ressemble plus à un européen. De fait Mustapha Kemal est né à Salonique (la ville d'origine du grand père de Sarkozy) dans la famille Effendi, et a fréquenté l'école coranique du quartier Effendi.
Or, cette ville de Salonique, et ce quartier d'Effendi, et même ce nom d'Effendi nous renvoient à plusieurs faits. Premièrement Salonique était une des principales villes juives séfarades en Europe, avant la chute de l'empire Ottoman. Une petite recherche sur des sources ouvertes et même juives vous en convaincra. Ensuite elle est le berceau spirituel d'un fameux faux messie juif qui jouera un rôle déterminant dans l'histoire du sultanat Ottoman: Shabbatai Tzevi (ou Shabtai Zvi ou Shbtai Tzvi, il existe de multiples orthographes).
Une recherche sur son nom et la secte qu'il a créée, les Donmeh, (là aussi de multiples orthographes) vous en apprendra plus long.  En gros, ce Shabbatai Tzevi a réussi à passer pour le Messie auprès d'une grande partie de la communauté juive de son époque. Ce n'était pas un fumiste comme il y en a eu tant, il a réellement convaincu une grosse partie de sa communauté, et fait douter le reste, tandis que seule une petite partie s'opposait ouvertement à cette idée, notamment les notables et les rabbins siégeant dans les plus hautes instances.
Comme l'ordonne la loi Mosaïque, le Sanhedrin est censé condamner à mort les faux messies et faire appliquer la sentence (ce qui fut fait à Jésus, la sentence étant exécuté par les Romains). Shabbatai fut donc condamné à mort par le Sanhedrin qui demanda au calife d'appliquer la sentence. A cette époque en effet, (en France il en allait de même), les juifs relevaient des tribunaux juifs en ce qui concerne les jugements.
fc2807ada2e76a3dc2bc2fde1ec584e3.gifShabbatai pour échapper à la mort décida alors de se convertir à l'Islam, afin d'échapper à la juridiction des tribunaux rabbiniques. Il se convertit donc et une grosse partie de ses fidèles les plus proches, pour créer la secte des Donmeh (appelés aussi les Shabbateans).
Evidemment, la grande majorité de la communauté juive devant cela ont abandonné tout crédit à son encontre, mais il a su néanmoins garder une grosse partie de ses partisans, suffisamment pour créer une secte puissante.
Or le nom musulman pris par Tzevi fut Effendi, et on sait qu'il passa la plus grande partie de ses dernières années dans les Balkans, notamment à Salonique (où il avait fréquenté les yeshivah étant plus jeune, durant de longues années, et où lui est apparue la révélation qu'il était le messie). Précisément le quartier Effendi était considéré comme un quartier Donmeh.
La particularité des Donmeh, est que ce sont des cryptos juifs officiellement musulmans. Mais ils ne se marient qu'entre eux.L'autre particularité est que Atatürk leur a fait une grande place dans son gouvernement des jeunes turcs, et dans son armée. Certaines théories en Orient, font de Atatürk un Donmeh, ce qui explique son empressement à vouloir liquider le Califat et le remplacer par un gouvernement "laïc".
Cette idée très moderne de la laïcité à l'époque a toujours été un fer de lance des lobbies juifs afin d'abolir le critère religieux dans les affaires de l'état, et leur permettre une plus grande part d'influence.
Avec Atatürk, l'influence des juifs fut particulièrement grande et ce peuple fut particulièrement choyé. Là encore de nombreux témoignages juifs en persuaderont le lecteur, d'autant qu'aujourd'hui encore, la communauté juive turque jouit d'une grande influence, et la Turquie est le principal allié d'Israël dans la région.
Le rapport avec votre article? Eh bien c'est simple: tout porte à croire que les généraux qui ont supervisé les massacres de chrétiens arméniens et grecs furent soit des Donmeh, soit des juifs.
Et c'est bien cela qu'on veut à tout prix éviter de révéler au grand jour. Du coup, oui pour stigmatiser les Turcs en tant que musulmans barbares dans les médias, non à une reconnaissance officielle que les Turcs n'accepteront pas et qui risque d'ouvrir une page noire de leur histoire.
Pour l'instant le nationalisme turc fait qu'il est impossible de remettre en cause l'origine d'Atatürk dans une discussion, mais espérons que ça finisse par changer.
Il serait vraiment intéressant de voir quelle est la part réelle d'influence de ces cryptos juifs dans l'histoire moderne de la Turquie, sachant qu'ils se cachent généralement fort bien et qu'ils effacent les traces de leurs actes. »

Noone

On remarquera que la méthode employée est toujours la même, l'empire du moment infiltré sert de corps expéditionnaire au judaïsme déguisé et commet des génocides qu'il va bien sûr imputer à ceux qui l’accueillent eu leur sein, et lui ouvrent leurs portes. 

Il est à mon avis possible de réviser toute notre histoire de cette manière, et de restituer à César ce qui lui appartient, car tant de crimes sont imputés par lui à d'autres qui en portent la culpabilité éternelle. 
La lecture de DEUX SIÈCLES ENSEMBLE d(Alexandre Soljenitsyne, peut nous aider à comprendre ce mécanisme à l'Est du monde, il est facilement à trouver sur le net en .pdf, mais moins facile à lire du fait de ses près de 1200 pages. 

Il serait intéressant que des Iraniens, des Arabes du Maghreb et du Mashreq, des Irakiens, des Afghans, et tant d'autres fassent ce travail de révisionnisme, car chacun de ces peuples a dû supporter le poids de crimes commis en son nom par le judaïsme et ses adeptes les plus intégristes.

Car nous sommes tous en réalité les jouets de cette "religion" et que seule une alliance intelligente peut nous permettre de ne plus tomber dans ses pièges. Je dis cela car ils ont réussit à diviser et à compartimenter le monde, ce qui fait que l'Iran par exemple possède des livres qui sont introuvables ailleurs, sur les Radhanites, et que leur traduction ou résumé pourraient être décisifs dans le combat qui oppose le judaïsme à l'humanité. Car ce n'est qu'en nous divisant et nous opposant qu'il réussit ses plans, et ce qui se passe au Maghreb actuellement n'en est qu'un ultime exemple.

Quand le monde aura compris que le Judaïsme n'a rien à voir avec la religion des prophètes et que son nom seul suffit à démontrer qu'il ne s'agit que de l'appropriation de leur actes et paroles par la tribu de Juda, alors nous pourrons enfin participer au combat, plutôt que de prendre les coups sans en connaitre l'origine ni être en mesure d'y riposter.

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