10 févr. 2011

ISRAEL UBER ALLES

Le compte à rebours du troisième conflit mondial pour Israël vient en ce début 2011 de s'accélérer.



Mis à mal aux états unis où ils avaient réussit à faire de ce programme à la gloire du judaïsme conquérant un des fers de lance du pseudo Nouveau Siècle Américain, le LOBBY Israélien sans frontières applique son plan B. 
Longuement préparé, au travers de l'élection du sioniste de l'Élysée et dans les autres chancelleries Européennes,  et maintenant par l'instauration et la normalisation de partis extrêmes droite Européens, dont le retournement subit du FN n'est que l'exemple le plus probant, et simultanément  de la défection de toutes les "gauches" qui voyant leur plan accompli par leur ami et frère ont cessé toute activité d'opposition quand elles ne collaborent pas ouvertement ou secrètement au leitmotiv d'Israël Über Alles.  Même Ségolène Royal nous promet Strauss Kahn en 1er Ministre, c'est dire sa résistance aux forces de la mondialisation. Lui qui se lève chaque matin avec cette question lancinante : "Que puis je faire aujourd'hui pour Israël". 
L’Europe est soumise au silence par des lois sur un mot pernicieux et trompeur tel que l'antisémitisme, que les gardes chiourmes du camp de concentration mental Occidental, (que sont les journalistes les médias et ses faiseurs d'opinion), ont dressé au rang de crime suprême. Au point de ne peut plus être en mesure de décrire le mal qui pour une troisième fois va la projeter au centre d'un conflit mondial.


L'accueil des représentants des nouveaux fascistes d'Europe judéo-compatibles, mais férocement islamophobes à Tel Aviv, suivit de près par les 500 représentants Européens, nous incite à penser que de ce coté les jeux sont faits. 


Quoiqu'il ne faut pas préjuger du pouvoir de la vérité et de la capacité unique que nous avons de la diffuser. Mais le pouvoir des médias est tel actuellement, plus encore ceux de divertissement que d'information, que nous avons sombré dans un hédonisme profond, ne nous permettant plus d'avoir que des bribes de conscience, au milieu du tumulte permanent du prêt à consommer.

Mais ce choc des civilisations à besoin de deux parties, et ce qui se déroule au proche Orient n'augure rien de bon en ce sens. Vu que l'aspiration à l'indépendance et la justice des peuples qui se soulèvent vont être utilisées de la même façon que le communisme a été mis en place, ou que la révolution Française a pris forme. De belles idées, qui donnent naissance à des monstres. Bien que les modes opératoires puissent être différents suivant chaque culture.



Beaucoup sur la toile croient qu’Israël a peur de la prise de pouvoir de l'islamisme et qu'elle continue à soutenir les dictateurs. Mais il ne faut pas se fier uniquement à la façade diplomatique, qui s'apparente plus à la mascarade sur ce plan, mais voir les actes réels et leurs conséquences.


Et il n'y a rien de plus faux.  



Wikileaks contrôlé par Israël a été l'un des outils de ces révoltes, et les réseaux sociaux et outils de communication d'habitude si censeurs ont permis cette expression de la colère, mais il a fallut des tractations entre les sionistes sous couvert de diplomatie Américaine et les militaires pour qu'ils jouent un rôle clé et laissent les choses prendre cette ampleur, en poussant les présidents vers la sortie. 
 
Israël pour éviter que les peuples qu'elle projette les uns contre les autres dans ce conflit ne se retournent contre elle, doit se cacher comme cela a été souvent le cas, sous des identités nationales ou idéologiques autres que la sienne. L'assassinat du dirigeant du Hamas El Mabhouh à Dubaï, sous diverses nationalités, a amplement démontré le fonctionnement de cette infiltration tout azimut et de l'utilisation de ces couvertures par Israël. Sans aucune réaction autre que des paroles en l'air des pays concernés. 

Le reproche apparent fait aux États Unis de ne pas soutenir Moubarak fait partie de cette stratégie de camouflage et de subversion.


Tous les diplomates concernés par cette région sont des sionistes patentés et connus, tant aux états unis qu'en Europe, et nous savons qu'ils n’obéissent qu'à leur messie : Israël. Et que les intérêts des USA et de l'Europe ne sont le plus souvent que des excuses qu'ils utilisent pour camoufler leurs actes.
Quiconque s’intéresse au fonctionnement de la société Américaine sais que le sionisme y est roi. Et qu'il y règne en maître absolu. Faisant non seulement la politique extérieure mais les lois internes dans tous les domaines. Il y crée et entretien un monde mythique par le contrôle sans partage sur les médias de masse, et sur Hollywood. Il commence à peine à être limité dans ses actes les plus graves, du type déclenchement de guerres ou véritables attentats.
Hélas on peut aussi faire ce constat pour l'Europe. Et de plus en plus vite. C'est une évidence. Car malgré l'intrication du réseau sioniste dans l’événement qui a lancé ce choc des civilisations, le 11 Septembre 2001, dans sa préparation matérielle, idéologique, son utilisation médiatique, politique, et dans sa couverture (par le silence voir les menaces), les Américains n'ont toujours pas les moyens de les trainer devant les tribunaux., et nous n'avons toujours pas droit à la parole dans les médias sur ce qui est pourtant utilisé a outrance comme le pilier du choc des civilisations.
Au fur et à mesure qu'ils perdaient leurs liberté, et que leur constitution était bafouée, un rideau de fer s'est interposé entre le peuple américain et sa représentation faite par les médias du monde, permet de maintenir le mythe de l'Occident attaqué par l'Islam.
La peur a été l'outil principal, et le scandale de l'Anthrax, n'a jamais éclaté alors qu'il menait lui aussi au réseau sioniste. Même les vedettes de la Tv ont été jusqu'à intimer l'ordre de "fermer leur gueule" à des parents et proches des victimes du 11 septembre, sous prétexte de patriotisme. 
Mythe de l'islamisme terroriste dont se servent à leur tour les dirigeants du monde pour justifier leurs politiques sécuritaires, sur lesquelles poussent les droites islamophobes. Bouclant ainsi le cercle infernal.



Israël nous entraîne encore une fois au chaos, en frustrant les arabes de leur choix les amenant lentement mais sûrement vers la radicalisation. 


D'autant plus que les exemples du Liban, de l'Iran et du Hamas résonnent dans l'esprit populaire arabe comme une fierté retrouvée au milieu de ces vagues d'humiliation, que sont les guerres d'Irak, d'Afghanistan, du Pakistan, et de tous les régimes pro-sionistes qui sont maintenus partout, pendant qu'Israël se sert dans la banque d'organe palestinienne, et arrose au phosphore blanc les écoles sous la responsabilité de l'ONU.   


Il y a largement de quoi devenir islamiste, si ces résistant en sont, mais ils sont simplement musulmans et ont comme dernier recours Dieu et l'absolu. Comme ça a toujours été le cas, partout sur tous les continents, par tous les peuples, qui se tournent vers leurs divinités, pour leur demander aide et réconfort.
Hormis peut être, celui auquel le Dieu a promis la domination ou la mort de ses ennemis, partout où il ira chercher sa gloire. Et dont la plupart des fêtes commémorent des carnages d'innocents au nom de leur sainteté intrinsèque.


De toute façon, quel que soit le choix des Arabes nous avons la certitude que notre vision "occidentale" sera largement déformée par le prisme sioniste exercé sur les médias. Comme c'est déjà le cas.




La diabolisation de l'Iran, l'interdiction de dialogue faite à nos diplomates avec le Hamas et le Hezbollah, classés organisations terroristes alors qu'il est acquis que ce sont des groupes de résistance ne va pas nous aider à nous convaincre du contraire. 


Malgré qu'ils aient tous trois confirmé leur assise populaire par des élection démocratiques, le débat est interdit de très haut et répété à l'envie. Permettant  ainsi de maintenir le mythe des méchants islamistes, avec lequel il est impossible de dialoguer et d'assimiler la moindre velléité islamique, comme une montée de l'islamisme. Comme  aiment tant le faire, les Daniel Pipes, André Glucksman, et autres Alexandre Adler, là aussi la liste est longue de ces VRP en haine et en guerres en tous genre, et elle concerne chaque pays occidental en jeu.


Omniprésence médiatique expliquée de diverses manières toutes aussi farfelues les unes que les autres. Alors que nous voyons que cette profusion dans l'interface entre nous et le réel poursuit un but simple et clair. Une censure de FAIT, comme l'on constaté l'avocat John Daumont Bastardi et son client et ami Paul Eric Blanrue.
Ainsi que le cas Dieudonné le démontre magistralement.

Wikileaks, dans une des ses "fuites" récente, affirme que Al Quaida, cherche activement des matériaux radioactif pour la préparation probable d'une bombe sale. Bien sûr les médias Israéliens (guysen.tv) sont les premiers à nous sortir cette propagande, et quand nous savons ce dont Israël a été capable contre les étasuniens le 11 septembre, il ne faut pas prendre cette menace à la légère. Et il y a de fortes chances pour que le message prenne de l'ampleur.  Car comme le disent les néo-cons, cela prend des années, à moins d'un évènement catalyseur...

Al Quaida n'étant qu'une succursale du Mossad Israélien, sous couvert de CIA / US. Les officines qui transmettent les dernières vidéos d'un Bel Laden mort depuis fin 2001, sont des sites sionistes connus, et les menaces proférées à l'égard de la France et de l'Europe, proviennent donc de ce groupe.
La montée de la propagande sur l'AQMI, fait partie de cette stratégie de diabolisation et semble confirmer les intentions sionistes sur l'Europe.

Les manœuvres Israéliennes ont miné le terrain, et nos esprits, en refusant le choix démocratique à Gaza, suivi d'un blocus indigne et criminel. Et en fomentant une guerre civile au Liban. Au travers d'un simulacre de Tribunal Spécial qui est sous contrôle sioniste, de diverses nationalités. Sachant que le suspect principal est Israël, et qu'il n'est pas cité, c'est No Comment. Par bonheur pour le Pays des Cèdres, Sayed Hassan Nasrallah s'en sort à merveille. 

Ce qui nous redonne un peu d'espoir, sachant que le plan Israélien exposé par Oded Yinon et Israel Shahak dans les années 80 et dont le PNAC n'est que l'arrière petit enfant, (naturalisé étasuniens),  tenait le Liban pour un exemple facile de division et de subversion en vue d'une guerre civile. L'histoire du Liban en gardera toujours des blessures qui lui rappellerons que celui qui tente de nous lever les uns contre les autres, doit être au centre de toutes nos préoccupations, et que les paravents derrière lesquels il se cache servent surtout à réorienter notre réaction, dans une direction qui lui porte la victoire sur un plateau d'argent.


Et c'est valable dans toutes les directions, et concernant chaque partie. 


Remercions la providence, d'avoir appris la leçon Wikileaks, qui démontre que certaines vérités quand elles sont suffisamment diffusées, peuvent agiter les peuples et faire trembler les dictateurs. Car si les pays Arabes ont des dictateurs à la solde des sionistes, nous sommes de notre coté directement dirigés par eux. Le velours a recouvert la main de fer, et les faiseurs d'opinion sont devenus nos geôlier et nos bourreaux, dans ce grand camp de concentration mentale où ils emprisonnent nos esprits. 

3 commentaires: